La rédaction
Vous avez pu lire dans notre dossier consacré à l’endométriose que la micronutrition était susceptible d’apporter un réel confort de vie aux femmes souffrant d’endométriose. Nous avions abordé les promesses des antioxydants comme le pycnogénol – polyphénol extrait de l’écorce de pin maritime –, la N-acétylcystéine, l’EGCG (épigallocatéchine gallate) du thé vert, le resvératrol et, en phytothérapie, l’achillée a été entre autres citée.
Ce sont ces mêmes antioxydants et autres extraits que l’on trouve dans toute une gamme de compléments alimentaires dédiés à la santé féminine et au confort menstruel. Méticuleusement formulés et dosés, ces compléments sont des concentrés de micronutrition agissant aussi bien sur la douleur que l’inflammation, avec une formulation dédiée à l’endométriose (Endomaxo), aux douleurs sévères et au syndrome prémenstruel (Feminaxo) ou aux dysménorrhées (Confort menstruel).
Pour calmer la douleur, ces compléments réunissent l’action du PEA (palmitoyléthanolamide micronisé), de l’acide rosmarinique du romarin et des OPC (oligomères procyanidoliques), du pin maritime (Confort menstruel) ou de la N-acétylcystéine (Endomaxo). Pour traiter l’inflammation, la synergie réunit l’action anti-inflammatoire de la quercétine, du resvératrol, du gingembre, de l’alchémille et de l’achillée millefeuille qui limite entre autres la production des prostaglandines, médiateurs chimiques impliqués dans l’inflammation et la douleur. Les oligoéléments (zinc), les vitamines (B1, B3, B6, B9, D, C et E) complètent l’action anti-inflammatoire.
Une gamme en vente libre pour le complément dédié aux dysménorrhées, ou sur ordonnance pour les compléments dédiés au syndrome prémenstruel ou l’endométriose. Encore faut-il que les professionnels les connaissent !