Dr Paul Dupont
Le syndrome métabolique associe des troubles du métabolisme des lipides et des glucides qui se traduisent par une augmentation de la sangle abdominale (on a du ventre), une élévation de l’acide urique, du cholestérol, des triglycérides et de la glycémie. Et il est la conséquence en général d’une suralimentation et d’un manque d’exercice physique. Il est aggravé par l’excès alimentaire de graisses saturées, de sucres rapides, de viandes et d’alcool.
Les causes de ce syndrome sont pluri factorielles. En premier, il y a l’hérédité et les habitudes familiales (on mange trop, trop gras et trop sucré). Viennent ensuite les modes de vie comprenant les carences nutritionnelles, la sédentarité ou le manque d’activité physique, les repas trop rapides, mal digérés et composés de produits raffinés, trop gras, avec des sauces et des sucreries, des excès (notamment d’alcool). Le manque de sommeil peut aussi jouer un rôle en perturbant des hormones qui agissent sur le métabolisme ou la satiété.
Ce syndrome sera à l’origine de maladies du foie comme la stéatose (foie gras) qui peut se compliquer de poussées d’hépatite de surcharge et, quand s’y associe la prise d’alcool, de cirrhose. Ce syndrome conduit également à des complications cardio-vasculaires et neurologiques, voire au diabète. Il s’agit d’un problème de société, car près d’un quart des jeunes et des adultes européens iront vers ce genre de problème si l’on ne s’en occupe pas.
On définit le syndrome métabolique lorsque dans une prise de sang on retrouve :
C’est cette surcharge du sang qui conduit à de l’hypertension et à une prise de poids aboutissant notamment à une augmentation du diamètre de la sangle abdominale. Elle devient caractéristique au-delà de 80 cm pour les femmes et de 90 cm pour les hommes.
Une autre conséquence du syndrome métabolique, c’est l’inflammation et l’oxydation des tissus (artères et foie). La prise de sang révèle une élévation plus ou moins élevée de la protéine C réactive (CRP). Et lorsque cette CRP augmente, on parle d’aggravation du syndrome métabolique. La ferritine peut également s’élever car elle traduit l’inflammation du foie. Enfin, certaines transaminases (les TGP) augmentent proportionnellement à l’inflammation des cellules du foie d’origine alimentaire.
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Dans tous les cas, il faut :
Parallèlement, des compléments alimentaires peuvent se révéler utiles. D’après une étude réalisée par le laboratoire Monteloeder, les personnes qui prenaient de l’hibiscus et de la verveine citronnée tout en suivant un régime contrôlé perdaient deux fois plus de poids que celles qui suivaient uniquement un régime. En outre, la tension artérielle, le taux de cholestérol/triglycérides et la glycémie ont diminué defaçon significative.
Ce composé de plantes très concentré est contenu dans Œmine Metabolisme. En prendre 2 gélules chaque matin pendant au moins deux mois.Si on a aussi besoin d’agir sur la glycémie, je conseille Œmine Pissenlit, 2 gél. vers 16 heures et au coucher, pour favoriser l’action bénéfique de l’insuline. On peut alterner avec Œmine Glucolan à base de mûrier blanc (2 gél. au tout début du repasle plus sucré – par sucré, il faut entendreaussi les sucres lents).
Pour lutter contre l’inflammation et rétablir un équilibre entre le mauvais et le bon cholestérol, il est possible de faire des cures régulières d’Œmine Krill NKO (2 capsulesle matin, pour réduire l’inflammation oxydative liée au syndrome métabolique). Et si les LDL sont trop élevés, je conseille 2 gél. d’Œmine Colestrol au repas du soir.
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