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Covid-19 : les solutions naturelles

Polyphénols, huiles essentielles, probiotiques, vitamine D, sport… Depuis trois ans, les articles et études scientifiques se multiplient autour des aides naturelles à la lutte contre le Covid-19. Voici un résumé des solutions naturelles existantes en prévention du Covid, pendant le Covid ou en cas de Covid long.

La rédaction

Depuis janvier 2020, nous avons relayé dans nos pages les solutions naturelles anti-Covid les plus prometteuses et efficaces. En voici une synthèse :

Sommaire :

Polyphénols, lactoferrine, glutathion… Les micronutriments au secours de l’inflammation

• Vaccin ou pas, micronutrition et microbiote seront décisifs

• Covid long et prévention : boostez vos mitochondries

De l’intérêt d’éviter les carences en vitamine D, C et K

Des probiotiques pour chouchouter votre microbiote

Alimentation, sport, air marin : une vie saine pour éloigner le Covid-19

• Coronavirus : faut-il purifier l’air et les surfaces avec purificateurs et lampes UV ?

Phytothérapie, aromathérapie et produits de la ruche en prévention contre le Covid

• Les plantes, oui, mais pas n’importe comment !

L’homéopathie en renfort

 

Polyphénols, lactoferrine, glutathion… Les micronutriments contre l’infection et l’inflammation

Grande oubliée des débats autour de gestes préventifs face au Covid-19, la micronutrition aide pourtant à booster les défenses naturelles de l’organisme, à limiter l’inflammation et à faire face aux attaques bactériennes ou virales. La glutamine, par exemple, sorte de carburant immunitaire de l’intestin, est un acide aminé essentiel en cas d’infection tout comme le zinc qui montre une activité antivirale directe (lire « COVID-19 : la micronutrition, grande oubliée du débat ») ou encore le cuivre gluconate qui, in vitro, prévient l'infection de 70 % des cellules par le SARS-Cov2.

La lactoferrine, une molécule produite par notre organisme, présente en abondance dans le lait maternel, qui se consomme sous la forme de complément alimentaire, a également montré dans deux études qu’elle était capable d’inhiber le virus du Covid-19 en phase précoce mais aussi après l’infection (lire « La lactoferrine, une molécule couteau suisse »).

De même, les patients atteints de Covid-19 qui présentent les plus forts taux d’oméga-3 semblent également présenter un meilleur taux de survie face au virus. Pour comprendre comment maintenir un bon taux d’oméga-3, lisez notre article « Covid-19 : des oméga-3 en couverture ? ».

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Vaccin ou pas, micronutrition et microbiote seront décisifs

Que vous soyez vaccinés ou pas, la micronutrition et l’état de votre microbiote semblent avoir un rôle majeur pour vous aider à lutter contre l’inflammation induite par le virus SARS-Cov2. La réponse du corps aux vaccins, notamment, semble particulièrement sensible à la composition et à la richesse du microbiote. Dans ce cadre, les probiotiques offriraient une solution simple et accessible pour améliorer l’efficacité du vaccin et la durée de protection. Pour en savoir plus, lisez « Vaccin ou pas, micronutrition et microbiote seront décisifs ».

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Autre complément alimentaire prometteur contre le coronavirus, la L-lysine qui agirait d’une manière étonnante : le virus SARS-Cov2 confondrait L-lysine et L-arginine, incorporerait par erreur la L-lysine et mourrait car il n’aurait plus suffisamment de L-arginine pour se reproduire. Dans certaines études, huit patients sur dix, atteints d’une forme aiguë du Covid, auraient connu une réduction de 70 % de leurs symptômes, et ce, dès les 48 premières heures. Pour découvrir ce mécanisme, lisez « La L-lysine : complément alimentaire prometteur contre le coronavirus ? ».

En cas de Covid long, il existe également des compléments alimentaires qui permettent de soulager les fatigues chroniques post-Covid. Le complément baptisé Apportal ®, composé de 19 vitamines (notamment des vitamines B), de minéraux (fer, magnésium, zinc et sélénium), d’acides aminés (arginine et carnitine) et d’extraits de plantes adaptogènes (ginseng et éleuthérocoque) agirait notamment sur la fatigue et le brouillard mental typique des Covid-long (voir « Un complément alimentaire pour soulager les fatigues chroniques post-Covid »).

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Covid long et prévention : boostez vos mitochondries

D’une manière générale, le dérèglement, ou la moins bonne efficacité, de nos mitochondries (des structures qui sont le lieu de production le plus important « carburant » de nos cellules) permet au Covid-19 de mieux échapper à notre système immunitaire, de faciliter sa réplication et d’exciter l’inflammation (lire « Covid long : il faut sauver le soldat mitochondrie »). Heureusement, en cas de Covid long ou en prévention, plusieurs antioxydants aideraient à booster la régénération de nos mitochondries. Parmi ces derniers on retrouve :

  • Le glutathion, pilier du système antioxydant de la mitochondrie (que nous produisons notamment à partir du sélénium, du zinc et de la vitamine B ingérés dans notre alimentation, mais pour lequel vous pouvez aussi vous supplémenter).
  • La N-acétylcystéine (NAC) qui stimule la production de glutathion. Produite par notre foie, suite à l’ingestion de cystéine que l’on retrouve dans les aliments riches en protéines comme la viande, le poisson, les fruits de mer, le poulet ou la dinde, elle se retrouve également sous la forme de compléments alimentaires.
  • Le coenzyme Q10: une carence en coenzyme Q10 est suspectée de favoriser le dysfonctionnement des mitochondries. On en retrouve majoritairement dans la viande (porc, bœuf et poulet en tête), le poisson (principalement le hareng, la truite et la sardine), les huiles de soja et de colza, et les oléagineux comme les cacahuètes et les pistaches. Vous en retrouvez également sous la forme de complément alimentaire
  • Le resvératrol: il semble favoriser la production de nouvelles mitochondries. On en retrouve surtout dans le raisin frais et ses dérivés comme le jus de raisin ou le vin (surtout les rouges), le cacao ou les fruits des bois comme les mûres et myrtilles. En complément alimentaire, il est recommandé de favoriser la forme biodisponible et d’éviter la forme liposomale (lire « Resvératrol, « toxique » à fortes doses ? »)

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De l’intérêt d’éviter les carences en vitamine D, C et K

La célèbre vitamine D a été au cœur des débats concernant le Covid. Après trois ans de pandémie, les études montrent clairement l’intérêt de ne pas être carencé en vitamine D pour mieux faire face à l’infection au SARS-Cov2, d’atténuer la gravité du syndrome de détresse respiratoire (qui conduit les formes aiguës en réanimation) et de réduire les phénomènes inflammatoires souvent associés à l’issue fatale de l’infection. Pour en savoir plus, lisez notre article « Covid-19 : de nombreuses études montrent l'intérêt de ne pas être carencé en vitamine D ».

La vitamine C semble également un bon traitement d’appoint contre la Covid-19 (et autres infections respiratoires) grâce à ses effets antioxydants, anti-inflammatoires et favorisant l’immunité (voir « La vitamine C, un traitement d’appoint contre la Covid-19 et autres infections respiratoires »).

Enfin, la vitamine K, qui a révélé récemment ses bénéfices dans le cadre des maladies inflammatoires à bas bruit, aurait de possibles effets protecteurs contre le Covid-19 selon des chercheurs hollandais (lire « La vitamine K contre les maladies liées au vieillissement… et le Covid-19 ? »).

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Des probiotiques pour chouchouter votre microbiote

Au cœur de nombreux phénomènes immunitaires, le microbiote est également un allié à ne pas oublier. Une récente étude semble indiquer que les sous-produits et substances produites par notre microbiote intestinal peuvent moduler les infections virales (lire « Des clés contre le Covid-19 au sein du microbiote »), ce qui laisse penser que de nouvelles thérapeutiques antivirales pourraient voir le jour, via des probiotiques par exemple.

En effet, les probiotiques ne sont pas en reste ; plusieurs études montrent le rôle intéressant de probiotiques pris en compléments d’autres traitements qui permetteraient de raccourcir fortement le délai d’amélioration des symptômes (lire « Des super-probiotiques à l’épreuve du COVID »).

Alimentation, sport, air marin : une vie saine pour éloigner le Covid-19

Outre le port du masque et la consommation de vitamine D, certaines pratiques étonnantes comme le sauna ou la consommation d’infusions de roobois semblent être des facteurs protecteurs préventifs des formes graves de Covid-19 (lire « Quels facteurs protecteurs contre les formes graves de Covid-19 ? » pour plus de détails).

De même, la pratique régulière du jeûne intermittent pourrait protéger des complications du Covid-19, et offrirait une meilleure résistance aux infections (lire « Le jeûne régulier pourrait protéger des complications du Covid-19 »).

Enfin, la pratique régulière du sport en amont d'une infection au SARS-Cov2 pourrait diminuer jusqu’à 40 % les risques d’hospitalisation lorsque l'infection survient. Les personnes physiquement actives pratiquant régulièrement au moins deux heures trente d'exercice modéré, ou une heure et quart d'exercice de haute intensité chaque semaine, semblent en effet présenter des formes plus bénignes, y compris en cas de Covid long. L’activité physique régulière aiderait aussi à réduire les risques de transmission et de réinfection (lire « Covid : du sport pour diminuer jusqu’à 40 % les risques d’hospitalisation »). Il est en revanche conseillé de suspendre sa pratique sportive durant une infection virale, à plus forte raison en cas de Covid-19 du fait des retentissements spécifiques de cette maladie sur les sphères pulmonaire et cardiovasculaire et des risques associés.

Par ailleurs, prendre un bon bol d’air frais, notamment marin, pourrait avoir un effet protecteur préventif envers le Covid-19, notamment en réduisant l’exhalation de microgouttelettes (potentiellement infectieuses) de près de 50 %. Certaines données indiquent, par exemple, que l’exposition à l’air salin des côtes du Pacifique et du golfe du Mexique pourrait être à l’origine d’une réduction de 25 à 30 % de l’incidence du Covid 19 et des décès par rapport aux régions intérieures (pour plus de détails, lisez « L’air marin et l’activité physique contrarient le Covid-19 »).

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Coronavirus : faut-il purifier l’air et les surfaces avec purificateurs et lampes UV ?

Depuis le début de la pandémie, nous savons que l’aération des pièces intérieure est un geste crucial de prévention de la transmission du virus. Pour cela, il vous suffit d’aérer très régulièrement votre logement et les pièces où vous vous trouvez en journée. De nombreuses entreprises proposent des purificateurs d’air et lampe UV censées aider à lutter contre le Covid, que faut-il en penser ? Certains, notamment avec filtres HEPA sont efficaces. Mais, prudence, ils ne dispensent pas d’aérer les pièces et ne fonctionnent évidemment pas à 100 %. Les lampes désinfectantes à UV, quant à elles, ont prouvé une certaine efficacité sur des surfaces contaminées, mais elles ne répondent à aucune norme de sécurité, alors, prudence ! Pour tout savoir sur cette thématique, lisez notre article « Coronavirus : faut-il purifier l’air intérieur ? ».

Enfin, évidemment, une alimentation de qualité limite le risque et la sévérité du Covid-19. Favorisez les fruits, légumes, céréales complètes, poissons gras, protéines végétales et oléagineux, et limitez les boissons sucrées, céréales raffinées, bonbons et fritures. Pensez également à bien vous hydrater, et n’hésitez pas à ajouter un peu d’ail à vos plats (pour tous les détails, rendez-vous sur notre article « Une alimentation de qualité limite le risque et la sévérité du Covid-19 ».

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Phytothérapie, aromathérapie et produits de la ruche en prévention contre le Covid

Les plantes ne sont pas en reste et ont de nombreux bénéfices à nous offrir dans la lutte contre le Covid-19. Certains flavonoïdes que l’on trouve notamment dans l’aubépine, des mûres ou le vin rouge, pourraient présenter un certain intérêt dans la prévention des infections respiratoires liées au Covid. De même, les polyphénols pourraient nous aider de manière directe constituant des remèdes contre l'infection (par exemple avec la curcumine, ou l'acide ellagique) ou, de manière indirecte, en modifiant notre microbiote intestinal, par exemple grâce aux polyphénols du thé vert et du thé noir. Pour prendre connaissance de tous ces polyphénols prometteurs, lisez notre article « Covid-19 : la piste des polyphénols pour lutter contre l’infection ».

Selon un essai clinique, la papaye et le noni (fruit du Morinda citrifolia) fermentés pourraient également améliorer les fonctions cardiaques et pulmonaires détériorées de patients qui ont subi des formes modérées à sévères de Covid-19. L’amla, un fruit asiatique très utilisé en ayurvéda, qui contient vingt fois plus de vitamine C que l’orange, semble également présenter, selon une étude iranienne, un bon potentiel pour lutter contre les symptômes, et la durée d’hospitalisation due au Covid-19. Notamment grâce à ses nombreuses vertus (antioxydantes, antidiabétiques, neuroprotectrices, cardioprotectrices, immunomodulatrices, etc.) (lire « Amla : l’ayurvéda contre le Covid-19 »).

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Le pin maritime semble également intéressant pour accompagner l’après-Covid et les Covids longs. En effet, le pin maritime aiderait les patients post-Covid à mieux récupérer, et à réduire leur fatigue en atténuant plusieurs phénomènes inflammatoires à l’origine de leurs symptômes (lire « Du pin maritime pour accompagner l’après Covid et les Covids longs »).

Enfin, les granulés Jinhua Qinggan Granules (alias « JHQG »), un remède traditionnel chinois contenant douze plantes dont le chèvrefeuille, l’armoise ou la réglisse chinoise (et dont les substances actives (kaempférol, stigmastérol et quercétine) présentent des propriétés antivirales, anti-inflammatoires et immunorégulatrices bien documentées) aurait finalisé avec succès un essai clinique.

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Les plantes, oui, mais pas n’importe comment !

Toutefois, il ne s’agit pas d’utiliser les plantes n’importe commentComme le rappelle Thierry Thévenin, producteur-cueilleur de plantes médicinales, et botaniste de terrain depuis plus de 25 ans : il n’est pas question, en cas de Covid ou en prévention, de céder à la panique et de consommer des plantes dans des quantités déraisonnables ou sur de longues périodes, car « la surdose ne sert à rien, bien au contraire » car « une stimulation brutale et inhabituelle du système immunitaire pourrait exercer un effet totalement néfaste ». De même, il ne faut pas transposer les propriétés d’une plante en tisane avec la même plante en huile essentielle ; les deux formules peuvent être « très éloignées » en termes d’usage et de tolérance.

Retrouvez tous ces conseils pour vous faire une bonne tisane de cynorhodon riche en vitamine C, de pin sylvestre ou d’eucalyptus globuleux pour faciliter la respiration dans l’article « Covid-19 - "Avec les plantes oui, mais pas n’importe comment, ni avec n’importe quoi" ». De même, si certaines pistes en phytothérapie font consensus, d’autres sont purement spéculatives ; si vous êtes hypertendu ou diabétique, il convient donc d’être très prudent (lire « Coronavirus et plantes : pourquoi il ne suffit pas de « booster l'immunité »).

Si vous êtes perdus parmi les différentes plantes anti-inflammatoires proposées en cas de Covid comme le saule, la reine-des-prés ou l’harpagophytum, et les mises en garde de l’ANSES à leur sujet, lisez l’avis de nos experts herboristes et phytothérapeutes « Plantes anti-inflammatoires et Covid-19, 4 experts décryptent l’avis de l’Anses ».

Les produits de la ruche ne sont pas en reste. En association, le miel cru multifloral et les graines de nigelle semblent diminuer symptômes et mortalité liés au Covid-19 (voir « Covid : Miel et nigelle pour diminuer symptômes et mortalité »). De même, la propolis a révélé, dans des essais pré-cliniques, qu’elle stimule l’immunité. Elle a montré, dans un essai clinique, utilisant des capsules d'un extrait standardisé breveté (appelé EPP-AF et contenant 60 % de propolis verte et 40 % de propolis brune) qu’elle pouvait, en complément des traitements standards, réduire par deux la durée d’hospitalisation, et protéger les fonctions rénales (voir notre article « La propolis candidate naturelle à la lutte contre le Covid-19 »).

Covid-19 et perte d’odorat : les huiles essentielles pour rééduquer votre nez

Alors que 70 % des formes peu sévères de Covid-19 présentent une perte d’odorat totale ou partielle. Parmi ces patients, la moitié d’entre eux retrouvent leur odorat normal en quinze jours. Si vous faites partie des 50 % restants, les huiles essentielles seront des alliées précieuses. Nous étions les premiers, dès mai 2020, à vous relayer et proposer un protocole très simple de rééducation olfactive permettant de stimuler votre odorat deux fois par jour, notamment grâce aux huiles essentielles d’aneth, de thym, de cannelle ou de clou de girofle. Pour prendre connaissance du protocole complet développé par un neurobiologiste du CNRS et l’association Anosmie, lisez « Covid-19 et perte d’odorat : n’attendez pas pour rééduquer votre nez ».

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Côté huiles essentielles, l’eucalyptol (que l’on retrouve dans les huiles essentielles d'eucalyptus radié, d'eucalyptus globulus, de ravintsara, de cajeput et de niaouli) présente de sérieuses potentialités thérapeutiques en agissant en tant qu’inhibiteur d’une protéine essentielle à la survie du Covid-19 (lire « Covid-19 et huiles essentielles »). L’huile essentielle de cajeput (Melaleuca cajuputi) se démarque particulièrement par sa potentielle capacité à inhiber la prolifération du Sras-CoV-2 en tout début d’infection (lire « L’huile essentielle de cajeput efficace contre le Covid-19 ? »).

Enfin, le thym pourrait également être une piste pour venir au secours des personnes sous ventilation mécanique. Les vertus thérapeutiques de l’huile essentielle de thym vulgaire (Thymus vulgaris) mélangée à de l’eau distillée prise sous forme d’inhalation à l’aide d’un nébuliseur semblent diminuer la concentration des sécrétions respiratoires ainsi que de leur pression pulmonaire.

L’homéopathie en renfort

Côté homéopathie, le docteur Daniel Scimeca, président du Syndicat de la médecine homéopathique propose quelques conseils homéopathiques valables pour affronter les attaques virales et saisonnières, dont le Covid-19. Pour escorter le vaccin contre le Covid-19 : Belladonna 9 CH, 5 granules les trois matins qui précèdent chaque dose de vaccin, Mercurius solubilis 7 CH, 5 granules les trois matins qui suivent chaque dose de vaccin et Silicea 15 CH, une dose une semaine après chaque dose de vaccin (pour en savoir plus, lisez « Immunité : l’homéo en renfort »).

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