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Vivre avec une maladie auto-immune : soins allopathiques et appproches naturelles

  • Comment atténuer leurs impacts et améliorer sa qualité de vie ? élioration de la qualité et l’allongement significatif du temps Comment atténuer leurs impacts et améliorer sa qualité de vie ? élioration de la qualité et l’allongement significatif du temps
Article paru dans le journal nº 90

Depuis quelques décennies, les maladies auto-immunes (MAI) font aussi peur que le cancer ou les maladies cardiovasculaires. Et pour cause, elles sont la troisième cause de mortalité sous nos latitudes. Causées par un dysfonctionnement du système immunitaire, elles ne doivent pas pour autant être confondues avec les maladies auto-inflammatoires. Quels sont les traitements actuels pour les personnes atteintes, et quels conseils supplémentaires leur donner en matière de nutrition et approches complémentaires ?

De nos jours, les maladies auto-immunes (MAI) forment un groupe d’environ 80 pathologies. Elles représentent la troisième cause de mortalité en Occident, après les cancers et les maladies cardiovasculaires. Elles touchent quelque 10 % de la population, en particulier les femmes, et apparaissent chez des patients de plus en plus jeunes.

Les causes de ces maladies étant bien mal connues, l’élaboration de traitements adaptés n’est pas encore à l’horizon des prochaines années, et la guérison reste à ce jour un but inaccessible. Mais l’amélioration de la qualité et l’allongement significatif du temps qui reste à vivre peuvent être espérés.

Un problème de classification

La classification habituelle distingue les MAI « spécifiques », n’affectant qu’un organe, des MAI « systémiques » affectant plusieurs organes ou tissus. Selon le Centre national de référence des maladies auto-immunes de Strasbourg :

Sont exclues de ce cadre les maladies auto-inflammatoires : la spondylarthrite ankylosante et les maladies inflammatoires chroniques des intestins (maladie de Crohn et rectocolite hémorragique). Cependant, l’Inserm et ...

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