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Prostate : la prévention est la meilleure des médecines
Au vu des effets indésirables sévères et durables des traitements allopathiques actuels, même si, comme nous l’envisageons plus loin, le recours à des traitements naturels permet d’en améliorer les résultats, la perspective éventuelle de vivre un calvaire est une véritable exhortation à éviter une telle probabilité.
Ainsi, quelques recommandations s’imposent. La première : consulter la liste des facteurs impliqués dans la genèse du cancer de la prostate permet une première estimation. Plus on trouve d'agents potentiellement déclencheurs en soi, plus la situation doit être prise avec sérieux.
Tomates, huile de colza, vin
L’analyse des dernières études d’intervention nutritionnelles permet d’avancer que le risque de cancer de la prostate comme sa progression peuvent être réduits de façon notable en diminuant la consommation de glucides et de graisses saturées et en veillant à des apports réguliers de protéines de soja, d’oméga 3, de tomates et de ses produits dérivés, de thé vert et de certaines épices (curcuma, gingembre) et herbes du jardin (basilic, origan, romarin).
En pratique, cela revient à :
- Appliquer le régime méditerranéen éventuellement appauvri en glucides , ou le végétarisme à condition de réduire la consommation de produits laitiers.
Pour cela, insister sur :
- Les tomates (de préférence cuites) et les crucifères , les premières du fait de leur richesse en lycopène, les seconds de leur forte teneur en DIM (3,3’-di-indolylméthane) et en I3C (indole-3-carbinol).
- La combinaison d’huiles d’olive et de colza en première pression à froid : deux cuillérées à soupe par jour, toujours à cru.
- Les poissons de mer sauvages, vivant en eau froide et de petite taille : hareng, maquereau, pilchard, sardine. Au moins 3 portions de 100 grammes par semaine. Ecarter les gros poissons (espadon, saumon, thon) dont la chair renferme non seulement des taux inquiétants de métaux toxiques mais aussi de pesticides et d’autres perturbateurs endocriniens.
- L’absorption régulière d’un verre de vin par jour (de préférence rouge) ou/et de deux tasses de thé vert ou de café
- Consommer le plus souvent possible des aliments issus de production biologique ou mieux encore, biodynamique : les perturbateurs endocriniens (pesticides, phtalates, bisphénols) étant soit reconnus soit fortement suspectés de faciliter l’émergence de ce type de cancer.
- Pour la cuisson, utiliser majoritairement l’autocuiseur, éviter l’appareil à micro-ondes et le four.
- Arrêter de fumer car si le tabagisme ne semble pas induire le cancer de la prostate, son interruption définitive réduit notablement le risque d’en mourir.
Faire de l'exercice sans stress
Faire régulièrement de l’exercice physique au plus près d’une nature protégée, avec pour seul but, la recherche du bien-être à tous les niveaux de l’être (physique, émotionnel et mental). En effet :
- L’esprit de compétition, que ce soit avec autrui ou avec soi-même, génère un stress (psychologique et cellulaire) dont les conséquences bio-chimiques peuvent réduire considérablement les bienfaits escomptés.
- La pratique en salle ou en ville est également à éviter du fait de la pollution aérienne toujours significative.
- Veiller à conserver une activité sexuelle soutenue : les éjaculations répétées protègent du risque de cristallisation du liquide prostatique qui est à l’origine de la plupart des phénomènes inflammatoires locaux.
Et quelques compléments
Si vous voulez vous orienter vers une vraie prévention active du cancer de la prostate, vous pouvez vous complémenter en micronutriments sur les ...
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