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Métabolisme et luminosité : choisir les bonnes graisses pour la belle saison

  • La prise de poids peut être engendrée par un manque de luminosité.La prise de poids peut être engendrée par un manque de luminosité.
Article paru dans le journal nº 98

Alors que beaucoup se réjouissent de sortir de l’hiver et s’impatientent de retrouver les charmes printaniers, les maux hivernaux ne font pas relique et disparaissent parfois aussi timidement que fleurissent les végétaux au printemps… sensibles à la moindre variation. Qualifions cette période de véritable transition, synonyme d’adaptation. — Partie 2


Avec une luminosité diminuée et des jours raccourcis, nos organismes ont compris qu'il était nécessaire de s'ajuster, gage d'un bon rebondissement lorsque les signaux climatiques opposés se manifestent au printemps.

Moins de lumière, plus de graisse !

Une grande majorité d’entre nous constate une prise de poids de quelques kilos durant les mois hivernaux. Certains l’attribueront aux excès alimentaires, d’autres à une réaction naturelle liée à la chute de température ou à la baisse d’activité physique, et parfois au cumul de ces facteurs. Si nous ne pouvons disculper ceux-ci totalement, il convient d’attribuer la plus grande responsabilité de ce phénomène à la disponibilité de la lumière bleue émise par le soleil. En effet, des scientifiques canadiens ont démontré que les cellules graisseuses, situées sous la peau, réagissent en fonction de leur exposition à cette dernière : elles grossissent et stockent plus de graisse à faible exposition, et rétrécissent, ce qui fait fuir la graisse, dans le cas contraire. On peut donc s’attendre normalement à cette augmentation pondérale périphérique, et pourquoi pas l’envisager de manière bienveillante par son pouvoir isolant à l’arrivée de la saison froide, confiant de la voir réduire naturellement si l’on sort suffisamment le reste du temps.

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Un régime d’hiver, bonne ou mauvaise idée ?

On lit encore des recommandations de santé qui prônent la limitation calorique pour éviter la prise de poids durant la « mauvaise » saison. Les arguments avancés sont d’éviter de surcharger nos métabolismes et de maintenir absolument un rythme similaire toute l'année. Limiter, oui, raisonnablement, mais sans créer de sentiment de « privation ». Car, comme évoqué ...

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