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Parkinson : nos émotions mises en avant…

Article paru dans le journal nº 41

Pour comprendre réellement la maladie de Parkinson, il faut aussi en identifier les origines profondes. Le processus de guérison est une étape de réconciliation avec soi-même très compliquée. Comprendre son histoire, son cheminement personnel et interpréter sa maladie est une étape très souvent importante dans le processus d’acceptation et de rétablissement.

Il existe une approche métaphysique des maladies qui démontre l’existence d’un lien entre les pensées, les émotions et le trouble physique. De nombreux ouvrages ont paru sur le sujet. Les spécialistes de cette approche sont de plus en plus actifs dans le milieu de la santé. Grâce à cette prise de conscience, les maladies peuvent parfois être plus facilement acceptées.

La maladie de Parkinson se prête, elle aussi, à des explications mettant davantage l’accent sur le rôle des émotions. La cause profonde du mal peut varier selon le vécu de chaque patient. Nous sommes uniques, et le récit de nos vies s’ancre complètement dans nos cellules.

Les tremblements caractéristiques de la maladie de Parkinson sont le symbole profond d’une perte de contrôle qui s’accentue au fil du temps. Une vie entière passée dans l’insécurité ou l’incapacité d’avancer vers une existence meilleure pourrait être le point de départ de nombreux troubles. De même, une peur liée à l’incertitude de l’avenir pourrait pousser la personne à se murer, inconsciemment, dans la déchéance parkinsonienne.

De nombreuses émotions enfouies peuvent être étudiées et analysées pour éclairer l’origine de la maladie de Parkinson :

  • La perte de contrôle ;
  • L’insécurité ;
  • L’impuissance ;
  • Un état perpétuel de crainte ;
  • L’agitation constante ;
  • La peur d’évoluer ;
  • Le manque de confiance en soi ;
  • La retenue émotionnelle.

Cette retenue émotionnelle, ce blocage de la volonté qui empêche de cheminer enferme la personne dans une certaine nervosité intérieure. Les conséquences d’un corps survolté et d’une haine accumulée peuvent, plusieurs années plus tard, déboucher sur un diagnostic parkinsonien.

Les épreuves que nous traversons tout au long de notre vie laissent des traces dans nos cellules. Au fil des années, un mécanisme de survie se met en place, et la maladie se déclare très souvent sans prévenir. Un beau jour, nous perdons le contrôle, nous relâchons la pression, et la maladie s’installe.

Comme pour toute maladie, comprendre le processus métaphysique n’entraîne pas une guérison miraculeuse. Cela permet, en revanche, de reprendre le contrôle de sa vie en apprenant à s’écouter et à se faire confiance.

Et si ce n’était pas Parkinson…

Les parkinsonismes sont des troubles neurologiques qui peuvent faire croire au patient qu’il est atteint de la maladie de Parkinson.

La PSP (Paralysie supranucléaire progressive) est l’un de ces syndromes parkinsoniens atypiques qui paralysent le regard, obligeant le patient à regarder vers le bas. Ce symptôme, très peu observé, est diagnostiqué lors d’un examen clinique (IRM ou imagerie fonctionnelle).

Tout comme les parkinsoniens, les patients atteints de PSP souffrent de bradykinésie (ralentissement psychomoteur), ainsi que de tremblements au repos. Le sujet est alors incapable d’écrire à la main. Seul le trouble oculaire permet de différencier les deux pathologies. La maladie de Wilson et la maladie à corps de Lewy sont deux autres parkinsonismes très courants.

Encore les métaux lourds…

Ce n’est pas une surprise, la contamination par les métaux lourds fait aussi partie des facteurs responsables de la maladie de Parkinson.
En effet, dès qu’ils migrent dans la circulation sanguine via la barrière intestinale, les métaux lourds comme l’aluminium ou encore le mercure se logent rapidement dans le cerveau, qu’ils détruiront petit à petit. Une détoxification se révèle dès lors nécessaire, car les métaux lourds présents dans l’organisme ne sont pas facilement éliminés.
Un traitement de chélation sera alors indispensable, et un praticien de médecine naturelle procédera au mieux et décidera de la meilleure marche à suivre. Les amalgames dentaires en mercure devraient être remplacés par de la résine naturelle. Ce procédé se fait par champ opératoire chez un dentiste agrée à pratiquer cette méthode.

Syndrome trompeur

Certains médicaments, les neuroleptiques, ont pour effet de bloquer les récepteurs dopaminergiques, perturbant ainsi le fonctionnement normal des neurones. Bien que les symptômes soient identiques à ceux provoqués par la maladie de Parkinson, les neurones ne sont pas touchés. Le syndrome parkinsonien neuroleptique disparait après l’arrêt du traitement.

 

En aucun cas les informations et conseils proposés sur le site Alternative Santé ne sont susceptibles de se substituer à une consultation ou un diagnostic formulé par un médecin ou un professionnel de santé, seuls en mesure d’évaluer adéquatement votre état de santé


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