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Bien vieillir : bâtir un plan d’action efficace
Dans la grande majorité des cas, la maladie provient de la réunion d’un ensemble de conditions favorables à son émergence. S’il semble évident que l’éradication de tous les facteurs de risque évitables est le moyen le plus sûr de s’assurer le plus grand nombre de chances de vivre plus longtemps et en bonne santé, il est beaucoup moins aisé de répondre à la question suivante : « Par où commencer ? »
En Occident, l’habitude est de s’occuper en tout premier de ce qui a conduit à consulter ou à se retrouver à l’hôpital. Et c’est juste, car il y a souvent urgence, l’équilibre physiologique étant alors plus ou moins gravement rompu.
Mais, l’épisode critique passé, le corps médical ne dispose d’aucun protocole lui permettant de définir le meilleur plan d’action pour assurer au patient une longévité égale au moins à la moyenne nationale et une bonne qualité de vie jusqu’aux derniers instants.
Niveaux d’intervention
Dans les temps anciens, la situation n’était pas aussi délicate. Une médecine du Moyen-Orient avait même défini une échelle des niveaux de thérapies et explicité son usage. Redécouverte il y a quelques décennies, elle est à nouveau disponible.
Selon cette classification, les niveaux d’intervention sont au nombre de six qui sont, en partant du plus matériel :
- Physique, avec ses trois composantes : structurelle, biochimique et biophysique.
- Émotionnel.
- Mental (schémas de pensée).
- Énergétique.
- Systémique.
- Spirituel.
En ces temps reculés, on considérait que l’être humain était un esprit incarné dans un corps physique, notion que le monde moderne a du mal à faire sienne : incapable de saisir l’esprit avec les moyens dont il dispose, il n’en parle pas, voire nie jusqu’à son existence.
L’utilisation de l’échelle des niveaux de thérapies repose sur trois grands principes :
- Lorsqu’on traite une affection à un niveau inférieur à celui de sa cause réelle, elle ne guérit pas. Au mieux, elle disparaît un moment, mais revient, souvent sous une autre forme.
- Lorsque la cause est de niveau élevé (5 ou 6), l’amélioration durable voire la guérison ne peut pas être obtenue tant que les facteurs de risque de niveaux inférieurs ne sont pas traités.
- Le niveau à partir duquel on peut agir rapidement, sans induire des effets indésirables, est le niveau énergétique.
Conflit entre modernes et anciens
L’étude des niveaux de thérapies est d’autant plus intéressante qu’elle prend en compte des facteurs que la médecine moderne a rejetés alors que leur prégnance a toujours été reconnue par le bon sens populaire.
Ne pas les reconnaître est possiblement une des raisons principales de la chronicisation d’un grand nombre de pathologies et de la lente dégénérescence des différentes fonctions organiques, sources de souffrances physiques et psychologiques comme de handicaps condamnant à plus ou moins long terme à la dépendance physique.
Méthodes énergétiques
Le corps physique est parcouru par un grand nombre de lignes énergétiques (nadis, méridiens), reliées les unes aux autres au niveau de carrefours (chakras) où elles convergent.
Chaque organe ou système est le siège d’un « champ morphique » (pour reprendre l’expression de Rupert Sheldrake) auquel seraient étroitement reliés une aire cérébrale et des nerfs, une zone cutanée, des vertèbres et des muscles, l’énergie d’un méridien, des réactions biochimiques, des émotions et des pensées d’un type particulier.
Quand une information entre dans un champ morphique par quelque voie que ce soit, tous les autres éléments qui le composent sont informés. Et la réaction est globale, positive ou négative.
C’est pourquoi il suffit de penser à une problématique qu’on ne parvient pas à résoudre pour entrer en résonance avec tout le champ morphique auquel elle est étroitement reliée.
En utilisant les méthodes énergétiques, on faciliterait la réharmonisation de la circulation de l’information véhiculée par les méridiens et par là, le retour à la santé de façon durable.
Savoir s’aimer
L’incapacité à reconnaître en soi une quelconque valeur conduit à rêver d’une autre vie que la sienne, à idolâtrer une célébrité parfois jusqu’à chercher à lui ressembler et même à se suicider quand celle-ci se suicide.
Même si ce ne sont là que des cas extrêmes, le manque d’amour de soi est largement partagé. Il est indispensable d’y remédier.
En aucun cas les informations et conseils proposés sur le site Alternative Santé ne sont susceptibles de se substituer à une consultation ou un diagnostic formulé par un médecin ou un professionnel de santé, seuls en mesure d’évaluer adéquatement votre état de santé
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