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Jeûne et données scientifiques disponibles

  • Un jeûne allégé de type Buchinger permet une normalisation des chiffres chez 90 %  des hypertendus étudiés.Un jeûne allégé de type Buchinger permet une normalisation des chiffres chez 90 % des hypertendus étudiés.
Article paru dans le journal nº 82

Il n’est quasiment plus un thérapeute qui ne conseille aujourd’hui le jeûne comme outil thérapeutique. Il n’est qu’à voir les religions qui ont toutes inclus le jeûne comme pratique obligatoire. C’est qu’elles ont bien compris l’intérêt sanitaire du jeûne. De tout temps, il a accompagné l’humanité et semble, à juste titre, retrouver enfin ses lettres de noblesse.

-Partie 5

Pour conclure ce tour d’horizon sur le jeûne, voici un aperçu des données scientifiques à disposition, avérant les bienfaits du jeûne aussi bien sur les animaux, les cellules et les humains que contre les pathologies.

Chez l’animal et sur les cultures de cellules

Le bêta-hydroxybutyrate,

Un des corps cétoniques produits par le jeûne, bloque un des mécanismes qui entretiennent le terrain inflammatoire à l’origine de nombreuses maladies dégénératives comme l’athérosclérose, le diabète de type 2 et la maladie d’Alzheimer.

Le régime mimant le jeûne

  • Promeut la régénération du microbiote intestinal et des cellules pancréatiques responsables de la sécrétion d’insuline au cours du diabète de type 1,
  • Réduit les phénomènes d’auto-immunité au cours de la sclérose en plaques,
  • Augmente l’efficacité des chimiothérapies anticancéreuses, notamment en stimulant certains types de cellules immunitaires.
  • Restaure la flore intestinale et favorise la régénération de la muqueuse au cours des maladies inflammatoires chroniques des intestins (MICI).

Chez l’être humain

De nombreuses études traitent de l’influence du jeûne en fonction de chaque type.

Par exemple :

  • Le jeûne de type Buchinger induit une amélioration du bien-être physique et émotionnel ainsi qu’une diminution de la sévérité des facteurs de risque, notamment cardiovasculaires.
  • Le jeûne, comme l’exercice physique intense, favorise la destruction des protéines défectueuses ou toxiques. Ce qui fait envisager son utilisation au cours de ...

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