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Dépression : et si c’était la thyroïde ?

  • Une dépression peut exprimer un déséquilibre invisible de la thyroïdeUne dépression peut exprimer un déséquilibre invisible de la thyroïde
Article paru dans le journal nº 47

La dépression et les déséquilibres de la thyroïde font partie des problèmes de santé les plus fréquents chez les Français. Pourtant, malgré des tableaux cliniques qui se ressemblent souvent (fatigue, problèmes de sommeil, troubles de l'humeur, etc...) le lien entre les deux est largement sous-évalué par les médecins. Une meilleure évaluation de vos déséquilibres hormonaux, associée à des réponses en nutrition et en phytothérapie, pourrait vous permettre d'éviter la prise inappropriée d'antidépresseurs ou de lévothyrox et le cercle vicieux des mauvais diagnostics et des rechutes.

« La dépression n’est pas une maladie », explique le Dr Brogan, psychiatre et praticienne en médecine holistique intégrative à New York. « C’est le signe d’un déséquilibre dans l’organisme, qui doit simplement être rétabli. » La vraie cause physiologique sous-jacente de la dépression, du malaise, de l’anxiété, de la baisse de libido et de la fatigue d’une femme est loin de se situer uniquement dans le cerveau. Bien souvent, la cause exacte est non diagnostiquée et non traitée : seul le symptôme est masqué, souvent à grands coups d’antidépresseurs.

Sérotonine : une carence commode

Depuis la fin des années 1980, le discours dominant sur la dépression (largement nourri par Big Pharma) consiste à dire qu’une déficience en certains neurotransmetteurs entrave la bonne transmission des impulsions nerveuses dans le cerveau. Cette « théorie de la carence » est largement disséminée dans le grand public et confortée par des médecins qui, confrontés à la souffrance psychique bien réelle de leurs patients, prescrivent de plus en plus d’antidépresseurs.

Pourtant, si les déséquilibres en sérotonine sont en cause de nombre de dépressions, certains spécialistes s’opposent à cette vision réductrice de la dépression comme une carences en neuromédiateurs qui devrait-être comblée. Le neurologue Joseph Coyle par exemple, de la Harvard Medical School, déclarait en 2014 : « Le déséquilibre chimique est une sorte de pensée du siècle dernier. C’est beaucoup plus compliqué que ça. Ce n’est pas parce ces symptômes ont été causés par un problème d’ordre chimique, que le médicament est capable de le corriger. » L’auteur ajoute, sarcastique : « L’aspirine atténue les maux de tête, mais les maux de tête ne sont pas causés par une déficience en aspirine. »

Des antidépresseurs aux effets controversés

C’est un article de 2009 écrit par le psychiatre américain Michael Gitlin, à l’université de Californie, qui jette un pavé dans la mare : un tiers des personnes déprimées sous antidépresseurs ne se sentent pas mieux et restent déprimées d’après plusieurs études scientifiques. « Si la dépression était simplement un déséquilibre chimique, les antidépresseurs fonctionneraient de façon beaucoup plus probante », conclut-il avec bon sens. En outre, les effets secondaires nombreux des différentes familles d’antidépresseurs (tricycliques, inhibiteurs de la recapture de la sérotonine, etc.) sont maintenant connus (dommages hépatiques, prise de poids, dysfonction sexuelle, diminution des fonctions cognitives, passage à l’acte, etc.), et leur inefficacité dans un certain nombre de dépressions, avérée.

Si les antidépresseurs ne sont manifestement pas la réponse à tout, c’est probablement que la question posée n’est pas toujours la bonne. Tournons-nous donc vers le lien entre le bien-être mental et émotionnel et le fonctionnement d’une mystérieuse glande du corps : la thyroïde.

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Thyroïde : petite glande, grand impact

Tout d’abord, comprenons bien le rôle de ce petit organe de 10-20 grammes. La thyroïde est une glande endocrine en forme de papillon, située à la base du cou. En lien avec l’hypophyse (la glande « chef d’orchestre »), elle joue un rôle prépondérant dans notre fonctionnement cellulaire, notre métabolisme, ainsi que notre production et dépense énergétiques.

Lorsqu’elle fonctionne bien, la thyroïde produit essentiellement deux hormones : la thyroxine (appelée « T4 ») et la tri-iodo-thyronine (T3). Ces hormones sont libérées dans le sang et y circulent, affectant de nombreux processus physiologiques. Une autre hormone, la calcitonine, est également produite en plus petite quantité par les cellules C (situées entre les vésicules thyroïdiennes).

Cette dernière hormone participe à la régulation du métabolisme du calcium dans l’ensemble de l’organisme. Globalement, la thyroïde synthétise ses propres hormones avant de les libérer dans la circulation sanguine afin de fournir une partie de l’énergie nécessaire à l’organisme et de réguler la vitesse de fonctionnement des organes.

Fausses dépressions, vraies thyroïdites

Le rôle de la thyroïde dans la santé du cerveau a été établi depuis plus d’un siècle. Déjà en 1888, le Comité de la société clinique à Londres avait établi le lien entre l’hypothyroïdie et le déficit mental, associé à l’époque à la folie, la mélancolie, la manie chronique et la démence.

On sait aujourd’hui que les récepteurs de l’hormone thyroïdienne sont concentrés dans diverses parties du cerveau et modifient l’expression des gènes codant la myéline et d’autres protéines impliquées dans le développement nerveux. Lorsque les hormones thyroïdiennes sont inactives, les patients subissent un éventail de symptômes, comprenant la fatigue, la constipation, une perte de cheveux, la dépression et les pensées brumeuses, ou les douleurs musculaires. « Combien de cas d’affections mentales cachent en réalité des problèmes de thyroïde ? » s’interroge le Dr Brogan. Selon elle, les tests standard effectués pour quantifier l’hormone stimulant la thyroïde (TSH) ne fournissent pas une évaluation précise de la véritable fonction thyroïdienne.

Il y a effectivement matière à s’interroger : dans une étude française, l’hypothyroïdie a été constatée chez 52% des personnes souffrant de dépression résistante, ce qui confirme l’importance d’approfondir sur les taux de TSH. Dans une autre étude, on a constaté chez un quart des patients déprimés des taux de thyroxine (T4) supérieurs à la normale, avec une corrélation entre la gravité de la dépression et la quantité de T4 dans le sang. En outre, jusqu’à un patient déprimé sur cinq présente des anticorps antithyroïdiens (« anti-TPO »), évoquant une maladie auto-immune impliquant la glande thyroïde (maladie de Basedow, thyroïdite d’Hashimoto).

Dans le cas où les taux de TSH sont pourtant considérés comme acceptables, la présence d’anticorps thyroïdiens chez la femme augmente le risque de dépression post-partum. Le Dr Brogan s’est appuyée sur six essais randomisés contrôlés par placebo, qui ont conclu que les suppléments hormonaux thyroïdiens donnés aux femmes qui ne répondent pas aux antidépresseurs ont permis d’améliorer l’efficacité des médicaments défaillants.

Il ne s’agit pas ici de glorifier les médicaments allopathiques à base de lévothyroxine utilisés pour la thyroïde, ni de proposer de les substituer aux antidépresseurs. Il s’agit simplement de constater que s’occuper des déséquilibres de la thyroïde est probablement une bonne idée, voire un passage incontournable, dans certains cas de dépression. De ce point de vue, ajuster les niveaux de sérotonine ne règle ici rien en termes de causes du déséquilibre.

Des hypothyroïdies mal diagnostiquées

Le Dr Beck, médecin et phytothérapeute toulousain, a pu constater dans sa pratique clinique qu’un grand nombre de ses patientes en surpoids et en dépression souffraient en réalité, in fine surtout d’hypothyroïdie. Chez la femme en surpoids, l’inflammation périphérique des tissus de l’organisme et la perturbation du métabolisme entravent la sécrétion d’hormones thyroïdiennes, car, rappelons-le, nos tissus lipidiques sont les plus grands producteurs d’hormones de l’organisme.

Dans certains cas la thyroïde ne métabolise plus correctement l’hormone T4 (thyroxine) : au lieu de la transformer en quantité suffisante en hormone T3 (tri-iodo-thyroxine), elle a tendance à l’orienter en excès vers une forme inactive et inutilisable par l’organisme, la T3 reverse (rT3). Pour ces profils de patientes, les tests de mesure usuels du fonctionnement thyroïdien (TSH, ou TSH et T4) ne décèlent parfois rien d’anormal…Courante en présence d’une analyse sanguine apparemment normale, la prescription d’antidépresseurs, n’est ici ni adapté ni souhaitable.

D’autres facteurs peuvent favoriser la transformation excessive de T4 en T3 inactive :

  • Traitement aux corticoïdes et production excessive de cortisol (stress chronique)

  • Taux de ferritine bas

  • Traitements médicamenteux, dont certains bêtabloquants (Propanolol) et même certains antidépresseurs (Clomipramine), ce qui complexifie d’autant plus le diagnostic (le traitement symptomatique pouvant ici amplifier la cause)

En France, la surveillance de routine par les endocrinologues repose souvent simplement sur un dosage de la TSH, en accord avec les préconisations de la Haute Autorité de Santé (HAS), mais il est intéressant, et souvent nécessaire pour détecter les problèmes de thyroïde, de faire mesurer également d’autres indicateurs hormonaux (T3 et T3 reverses, T3 et T4 libres) pour mettre au jour et appréhender au plus près les déséquilibres.

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Des facteurs déclenchants communs : inflammation et microbiote déséquilibré

Le phénomène inflammatoire est au cœur de plusieurs déséquilibres thyroïdiens, notamment ceux d’origines auto-immunes (maladie d’Hashimoto, de Basedow), qui, on le sait, affectent fréquemment l’humeur. Des protéines spécifiques et marqueurs de l’inflammation jouent un rôle crucial dans la modulation de ces réactions auto-immunes.

Or, parallèlement, de plus en plus de chercheurs s’accordent à penser que les syndromes dépressifs ont aussi à voir avec les troubles inflammatoires. Contrairement aux inflammations externes, généralement bénignes, une inflammation intracrânienne est silencieuse, car le cerveau ne dispose d’aucun récepteur de douleur. Pourtant, il y a un réel impact sur le bien-être mental. Et l’on constate que les patients atteints de dépression présentent des niveaux élevés de certaines cytokines, devenues une piste de choix pour traiter de ces troubles à première vue dépressifs. Donc il peut-être pertinent de s’attaquer à la piste inflammatoire.

On sait également aujourd’hui l’importance de la flore intestinale pour un bon équilibre mental et émotionnel. Ce qu’on sait moins, c’est qu’un microbiote intestinal déséquilibré peut aussi, du fait d’une immunité déréglée, entraver le fonctionnement de la thyroïde. La T4 peut aussi être transformée en T3 semi-active. Un microbiote intestinal en bonne santé permet à l’organisme d’utiliser cette dernière hormone de manière plus efficiente et donc de faire fonctionner la thyroïde de manière plus harmonieuse.

Thyroïde déréglée à la ménopause : la fausse bonne idée du Levothyrox ?

Nous avons consacré un autre article aux effets indésirables du Levothyrox, un des médicaments les plus prescrits au monde. Les études montrent que la plupart des personnes à qui le médicament est prescrit le prennent à une dose inadaptée, notre système hormonal étant une machine subtile avec des réajustements permanents. Pire : une récente étude de l’université de Glasgow sur 737 patients atteints d’hypothyroïdie dite « subclinique » montre que la prise de Levothyrox ne fonctionnait pas mieux qu’un placebo sur les symptômes.

L’hypothyroïdie est dite « subclinique » lorsqu’en parallèle de quelques symptômes fréquemment rencontrés avec l’avancée en âge et la ménopause (fatigue, léthargie, problèmes de concentration, de poids ou de circulation), on constate un taux de TSH légèrement élevé, mais des taux de T4 et T3 normaux. Malgré l’inefficacité du médicament, il est inutilement prescrit à 90 % des femmes avec cette condition !

Souvent, les dérèglements de la thyroïde au moment de la ménopause peuvent être la conséquence de la baisse des œstrogènes propre à cette période de la vie : pour compenser cette baisse, notre commande hormonale centrale (hypothalamus et hypophyse) tente de monter en puissance, impactant ce faisant la thyroïde. Ici, on préfèrera s’attacher à travailler sur les déséquilibres en œstrogènes en amont, en accompagnant sa ménopause avec les plantes avant de considérer la thyroïde elle-même,

Un socle indispensable de nutriments : l’approche du Dr Beck

Plus généralement, un ensemble de déséquilibres nutritionnels et subcarences peuvent générer des problèmes affectant la thyroïde, l’équilibre cérébral ou les deux en même temps, dessinant des portraits cliniques difficiles à distinguer. Aussi est-il une bonne idée, en cas de déséquilibres constatés, de commencer par mettre en place un fond nutritionnel optimum qui pourra éviter bien des erreurs de diagnostics et de prescriptions.

La thyroïde ne peut fonctionner si elle est privée de certains éléments. Le traitement du Dr Beck consiste d’abord à réguler le fonctionnement thyroïdien en apportant les nutriments (cofacteurs enzymatiques) nécessaires à la transformation de l’hormone T4 en T3. Ces cofacteurs sont des nutriments majeurs que l’on retrouve dans l’alimentation :

  • L’iode (huîtres, algues alimentaires)

  • Le fer (céréales non raffinées, lentilles, soja…)

  • Le sélénium (noix du Brésil, poissons gras, jaune d’œuf…).

Rappelons en outre que la prise de sélénium peut se révéler très intéressante en cas de maladie d’Hashimoto. Concernant l’iode, on notera que le fluorure de sodium (fluor) perturbe l’assimilation de l’iode par la glande thyroïde. Le fluor et l’iode entrent en compétition et lorsque le fluor prédomine, l’organisme présente une carence en iode.

On ajoutera à ces cofacteurs une complémentation de terrain, comme :

  • Des acides gras oméga 3 d’origine marine pour une action anti-inflammatoire.

  • Un complexe de Vitamines B (dont la B12), qui jouent un rôle d’équilibrage du cerveau et du système nerveux, régulent les cycles de sommeil, l’humeur et le système immunitaire. Les symptômes d’une carence en vitamine B12, par exemple, peuvent ressembler à une thyroïdite, et une déficience grave peut provoquer une dépression, des hallucinations, une perte de mémoire, une perte de goût et d’odorat, une confusion, un rétrécissement cérébral voire une démence.

  • La L-Tyrosine est un acide aminé également recommandé, car il est précurseur des hormones thyroïdiennes et peut réduire le taux de stress.

Or les problèmes de thyroïde peuvent être générés par le stress chronique ou les chocs émotionnels.

Pour faire baisser les taux de cortisol et pour une action dopaminergique, le Dr Beck propose aussi des cures de plantes adaptogènes comme la rhodiola (Rhodiola rosea) et le ginseng (Panax ginseng). En cas de thyroïde fatiguée, le spécialiste de l'endobiogénie, Dr Lapraz, propose quant à lui d’autres plantes adaptatives généralistes comme

Elles seront utiles en particulier pour un soutien court aux changements de saison (printemps et surtout automne), ces moments de l’année où la glande est particulièrement sollicitée pour s’adapter aux changements de temps et température.

Les plantes spécifiques de la thyroïde

Un certain nombre de plantes peuvent en outre accompagner spécifiquement la régulation des problèmes de thyroïde. Toutefois, au regard de la subtilité des ajustements nécessaires, il est préférable de les utiliser avec prudence ou de pouvoir surveiller vos paramètres hormonaux en vous faisant accompagner d’un endocrinologue ou un médecin généraliste formés à la phytothérapie.

Parmi les plantes réputées pour la régulation de l’hypothyroïdie, on retiendra deux plantes classiques de l'ayurvéda.

- L’ashwagandha ou ginseng indien (Withania somnifera) : il est réputé augmenter la production de T4, tout en diminuant la production de cortisol, notre hormone du stress.

- Le guggul (Commiphora mukul), un classique de la médecine traditionnelle indienne dont des études ont montré qu’il a un effet stimulant sur la thyroïde : meilleure métabolisation de l’iode, augmentation de la production de T3 et meilleur ratio T3/T4 grâce à un de ses principes actifs, la guugulsterone.

L’alimentation anti-inflammatoire

En naturopathie, la première règle thérapeutique pour des patients déprimés est de travailler sur l’alimentation. Les changements alimentaires ont une incidence majeure sur le microbiote intestinal, mais aussi sur les cellules immunitaires qui colonisent l’intestin. Compte tenu des arguments qui précèdent, ils peuvent également être utiles pour pacifier une thyroïde déstabilisée.

L’alimentation spécifique conseillée écarte les aliments pro-inflammatoires comme le sucre, demande une forte réduction des hydrates de carbone, les aliments transformés d’une manière générale, et évince les principaux allergènes susceptibles de provoquer des réponses auto-immunes, qu’il s’agisse du gluten (dont les corrélations sont démontrées avec la maladie d’Hashimoto et de Basedow), les OGM, les pesticides et métaux lourds, les acides gras trans ou encore la caséine.

Par ailleurs, une alimentation qui ne fait pas l'impasse sur les graisses (y compris animales lorsqu’elles sont de qualité) et les aliments naturels, bruts et riches en nutriments est vivement recommandée. Ces bonnes graisses (beurre au lait cru, huiles d’olive, de poisson, de lin et de noix de coco, œufs, noix) nourrissent le cerveau et ont des effets anti-inflammatoires. Elles ont de ce point de vue un rôle crucial pour le bien-être du cerveau, qui est composé à 60 % de graisse !

Prendre le temps du bilan

Derrière toute dépression chronique, ou de rechutes inexplicables, le fonctionnement thyroïdien devrait être étudié de plus près, pour envisager une approche thérapeutique véritablement complète et qui ne se trompe pas de cible. Grâce à ce nouveau regard thérapeutique, une alimentation anti-inflammatoire et une complémentation adaptée peuvent être proposées aux patients pour une prise en charge plus ciblée et plus efficace.

Cette approche ne saurait en outre pas être totalement complète sans prendre également en compte les dimensions émotionnelle et énergétique de la thyroïde, trop souvent éludées par les thérapeutes. En effet, au delà de sa fonction strictement physiologique, on connait aujourd'hui les liens entre stress, équilibre émotionnel et équilibre hormonal, avec le développement des recherches en neuroendocrinologie. N'oublions pas éaglement que la thyroïde correspond également au chakra de la gorge, et qu'un déséquilibre thyroïdien récalcitrant peut aussi renvoyer, selon les tenants des approches énergétiques, à un chakra de la gorge bloqué : à savoir une incapacité à communiquer clairement, à exprimer ses besoins, ses désirs et sa vérité profonde au monde extérieur.

Aujourd’hui, envisager une guérison complète, sans craindre les effets secondaires des hormones thyroïdiennes de synthèse et surtout, sans avoir recours aux antidépresseurs, est chose possible ; pour peu qu'on accepte d'évaluer avec précision ses déséquilibres et d'y répondre naturellement et méthodiquement.

 

Carnet d'adresses :

- Ashwaghanda

- Hypothyr.

 

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