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Prévention du risque cardio-vasculaire par l’hygiène de vie

  • Avoir une vie sociale dense est protecteurAvoir une vie sociale dense est protecteur
Article paru dans le journal nº 62

Une hygiène de vie préventive ne passe pas que par l’activité physique. Consulter régulièrement son dentiste, protéger son sommeil ou aller au sauna sont quelques unes des recommandations suivantes pour diminuer les risques cardio-vasculaires. Encore faut-il d’abord s’être libéré des auto-injonctions…

N’avoir d’activité physique qu’au travail protège moins que d’en pratiquer une de façon régulière. Dans le premier cas, le stress accumulé n’est pas aussi bien évacué pendant le temps de repos.

Il convient donc, quelle que soit la profession que l’on exerce, de veiller à avoir une activité physique régulière comme la marche rapide et la course à pied, qui diminuent de moitié les facteurs de risque cardio-vasculaire (FRCV).

En outre, si faire de l’exercice, c’est bien, c’est encore mieux quand on s’applique à :

Suivre une activité physique de loisir

Il est indispensable que cette pratique soit génératrice de bien-être physique et psychique, qu’elle soit libre de tout sentiment d’obligation (« Je dois… » « Il faut que… ») et de tout esprit de compétition (envers les autres comme envers soi-même). Le but : rechercher simplement la détente nécessaire à la régénération, dans un environnement dont l’air est le moins pollué possible et dont les impressions sont bénéfiques à l’équilibre émotionnel.

La pratique régulière du taï chi dans un espace vert améliore la qualité de vie en redonnant souplesse, équilibre et sérénité. Celle du yoga réduit le risque de syndrome métabolique, un important FRCV. L’exercice quotidien du jardinage d’agrément diminue le niveau de stress, ce qui a un impact sur le cœur.

Se libérer des « il faut que »

Depuis des décennies, la coutume est de privilégier tel aliment ou telle pratique sportive à la suite d’une forte médiatisation des résultats d’une étude qui en aurait démontré les bienfaits. Ce comportement n’est pas le fruit d’une réflexion bien menée, mais la production réflexe de l’instinct de survie. C’est la manifestation d’une immaturité émotionnelle et intellectuelle. Ne pas remettre en cause la légitimité des gens d’un certain savoir, c’est se conduire comme un très jeune enfant qui fait une confiance aveugle à ses parents.

Mais ...

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