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DOSSIER : La santé publique kidnappée !

Article paru dans le journal nº 27

Au gré des "affaires", le grand public commence à comprendre que les médicaments proposés par les laboratoires  pharmaceutiques ne sont pas toujours aussi sûrs qu'il le croit. le doute s'installe et se renforce chaque fois que l'on découvre que les effets secondaires de certaines spécialités ont été sciemment dissiumlés ou que l'efficacité de certains traitements est contestable, voire inexistante. Plus les enquêtes avancent, plus il apparaît que les organismes censés protéger la santé des consommateurs ont participé à un mensonge organisé en échange d'avantages sonnants et trébuchants. On découvre même que certains médecins et chercheurs, dernier rempart de protection des malades, participent activement à cette mystification. Du côté de l'industrie agro-alimentaire, la manipulation des esprits est encore plus criante et elle se poursuit sans vergogne par l'intermédiaire des grands médias, qui, en échange de budgets publicitaires se sont rendus complices de cette forfaiture. Il est temps de démonter, un à un, les rouages de ce jeu de dupes. Lisez les cinq articles de ce dossier si vous souhaitez ouvrir les yeux.

La médecine officielle justifie sa légitimité sur plus d’un siècle et demi d’innovations à l’origine d’importants progrès en matière de santé publique. En effet, l’anesthésie, l’asepsie, les antibiotiques, les médicaments de synthèse, les examens complémentaires, les techniques chirurgicales, toutes ces pratiques réunies ont permis et continuent de sauver un nombre considérable de vies.

Profitant de la colonisation de nombreux et larges territoires en Asie et en Afrique, cette médecine née en Occident s’est rapidement propagée au monde entier. Elle en a profité pour s’autoproclamer seul modèle recommandable, excluant par ce fait toutes les pratiques autres.

Pour ne pas passer pour arrogance, une telle prétention doit répondre à un niveau d’excellence en tous domaines, traçabilité et qualité de l’information, diagnostic, efficacité et tolérance des soins en particulier. Ce que de nombreux faits malheureusement contredisent, tels que :

  • La découverte de relations troubles entre certains experts médicaux respectés et les industries pharmaceutique et agro-alimentaire.
  • Les faiblesses constitutionnelles de certains organismes de santé nationaux dont l’AFSSAPS en France et la FDA aux USA.
  • L’efficacité douteuse des campagnes de dépistage massif : installation d’un climat de terreur au sein de la population, surdiagnostic, surtraitement et leurs conséquences dévastatrices sur la qualité de vie.
  • L’incapacité de guérir un certain nombre de maladies, qualifiées de ce fait chroniques, au nombre desquelles les maladies auto-immunes, les maladies neurodégénératives, certaines formes de cancers…
  • Un risque non négligeable d’effets indésirables sévères au cours ou à la suite de certains traitements médicamenteux, dont certains entraînent le décès prématuré.

Ces faits sont contestés ou reconnus du bout des lèvres par nombre de praticiens conquis à l’allopathie, arguant en dernier recours que de toute façon, il n’y a pas d’alternative et que toute chose a un prix, se retranchant à l’occasion derrière des résultats statistiques, oubliant le caractère sacré de toute vie et profanant par là-même le principe premier du serment d’Hippocrate, « Avant toute chose, ne pas nuire ! ».

 

Alors, face à tant d’incohérences, comment ne pas entrer en résistance passive, voire en insurrection citoyenne ?  Non qu’il faille jeter à bas tout l’édifice, ce qui serait contraire à l’intérêt commun, mais seulement en chasser les éléments inappropriés et donner leur place à des approches autres, c’est-à-dire alternatives et complémentaires, dont l’efficacité et la bonne tolérance sont certaines, même si celles-ci ne peuvent être démontrées par les outils ordinairement utilisés par le corps médical.

En outre, une telle démarche, c’est également dire non à la médecine de masse qui trop souvent ne prend pas en compte les particularités de chacun, c’est réclamer la satisfaction d’un besoin aussi essentiel que légitime, celui d’une approche personnalisée si ce n’est holistique.

Vu le nombre et la gravité des travers dont souffre la médecine moderne dans certains domaines, la position hégémonique qu’elle occupe depuis quelques décennies est donc très largement usurpée.

Vu les pratiques frauduleuses de l’industrie pharmaceutique, le niveau d’efficacité et de sécurité de leurs produits doit être sérieusement relativisé.

Vu les défaillances (constitutionnelles et pérennes) des organismes étatiques en charge de la santé publique, la validité de leurs avis et de leurs recommandations doit être systématiquement remise en cause, du fait notamment de la présence en leur sein d’experts présentant des conflits d’intérêts majeurs. C’est particulièrement le cas des RMO (références médicales opposables) qui sont censées représenter les bonnes pratiques concernant un certain nombre de maladies et que les médecins se doivent de respecter au mieux.

Cette situation est particulièrement dommageable pour le patient non averti. En effet, les informations auxquelles il se réfère ne proviennent que des grands médias qui se font volontiers le relais des leaders d’opinions en matière de santé, ces médecins dont il ne sait pas qu’ils sont à la fois membres d’un comité scientifique d’un groupement d’intérêt économique et experts auprès d’une autorité de santé. Ayant naturellement foi en plus qualifié que lui, il ne peut imaginer un instant qu’il puisse être ainsi grugé, aussi la notion même de conflit d’intérêts lui est totalement étrangère.

Les conséquences sur sa santé et sa qualité de vie sont catastrophiques.

  • De même qu’il a pleine confiance dans la parole médicale, il a une confiance aussi aveugle dans la qualité des produits des industries agroalimentaire et pharmaceutique : traçabilité et sécurité ne sont-ils pas les maîtres mots des officiels en ces matières ?

Ainsi, consomme-t-il majoritairement des aliments trop riches en graisses, en sucres et en sel aussi bien que pauvres en vitamines et minéraux. De même, dans l’espoir d’une amélioration plus ou moins durable de sa maladie, accepte-t-il de s’exposer au risque d’effets secondaires redoutables.

  • Le caractère particulièrement discréditant de la médecine allopathique vis-à-vis des médecines naturelles le prive des éventuels bénéfices (efficacité au moins égale avec une tolérance sensiblement meilleure) qu’il pourrait en tirer dans certaines indications.

 

En aucun cas les informations et conseils proposés sur le site Alternative Santé ne sont susceptibles de se substituer à une consultation ou un diagnostic formulé par un médecin ou un professionnel de santé, seuls en mesure d’évaluer adéquatement votre état de santé


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