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Alimentation instinctive : enfin une première preuve scientifique

  • Notre nez saurait reprérer les aliment dont nous avosn besoinNotre nez saurait reprérer les aliment dont nous avosn besoin
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Envie de viande rouge pendant les règles, ou pris d’une passion dévorante pour les fruits de mer alors que vous êtes un hypothyroïdien qui s’ignore ? Nous avons tous connu ces moments où notre corps semble savoir, d’instinct, ce dont il a besoin. Une nouvelle étude, pionnière sur le sujet, apporte un nouvel éclairage sur le sujet et conclut que, tous comme les animaux, nous aurions ce pouvoir.

Nous savons que les moutons ou les rongeurs ont la capacité de choisir leurs aliments en fonction de ce qu’ils contiennent, donc de leurs besoins en micronutriments. Mais les études menées sur l’être humain peinent à prouver formellement que nous aurions également cette aptitude. Menée par des chercheurs de haut vol, elle indique que notre corps, loin de réclamer uniquement les calories dont il a besoin, saurait également nous donner envie des aliments et compositions d'aliments optimales en termes d'apports de vitamines et minéraux. Cette première preuve, très attendue par les spécialistes et les tenants de l’instinctothérapie, devrait apporter de nouveaux éléments concernant cette question qui déchire souvent les spécialistes.

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Un sujet en friche depuis près d’un siècle


Dès les années 1930, la pédiatre américaine Clara Davis avait cherché à étudier ce phénomène chez les nourrissons mais de telles expérimentations seraient aujourd’hui contraires à l’éthique. Depuis, plus personne ne s’est vraiment intéressé au sujet (principalement en raison de difficultés méthodologiques), cela fait donc près d’un siècle qu’aucun scientifique ne s’était penché sur la question.

Entre temps, certains praticiens convaincus n’ont pas hésité à développer des théories autour de cette idée qu’on appelle l’instinctothérapie. Mais cette discipline, faute d’études scientifiques ayant prouvé sa validité, restait sujette à caution.

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