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Périlla en la demeure
Nous parlons souvent d’oméga 3. Ce que l’on dit peu, c’est que ses sources marines doivent être moins consommées pour respecter l’environnement et se prémunir des pollutions. Des solutions végétales existent.
Rappelez-vous cet épisode de Colombo, dans lequel le meurtrier prépare du fugu, un poisson japonais bien connu pour son goût délicat et… pour sa grande toxicité. Mal préparé, il peut provoquer une paralysie foudroyante du système nerveux central et des voies respiratoires, entraînant la mort. Ce met est donc accompagné d’une feuille de périlla (ou shiso en japonais) pour faciliter la digestion et protéger l’organisme des agents toxiques. D’abord utilisée comme plante ornementale en Occident, la Perilla frutescens a suscité l’intérêt des scientifiques à partir de 1977, notamment pour ses propriétés anti-allergiques. Ce n’est qu’en 2010 qu’on l’a plébiscitée pour sa richesse en oméga 3, plus précisément en acide alpha-linolénique (ALA).
De la protection de l’homme…
Cet acide est au cœur des enjeux de prévention de santé ; nous n’avons d’ailleurs de cesse de vous présenter des produits qui permettent d’apporter suffisamment de ces précieux oméga 3. Les acides gras de cette famille, moins répandus dans l’alimentation, jouent un rôle dans le maintien de l’intégrité cellulaire, de la tension artérielle, de l’agrégation plaquettaire et des réactions de défense contre les inflammations. S’ils sont consommés en excès, les acides gras de la famille des oméga 6, issus de l’alimentation moderne, vont perturber l’efficacité des oméga 3 dans leurs fonctions de protecteurs cardiovasculaires et ligamentaires. Ils jouent un rôle important au niveau du système nerveux, de la gestion des réactions immunitaires, allergiques et inflammatoires.
… à celle de l’environnement
Mais les problématiques environnementales constituent aujourd’hui un paramètre essentiel de sélection des produits. Jusqu’à ces dernières années, les huiles de poisson des mers froides restaient les sources alimentaires principales de ces composés. Cependant, avec le développement de pêches intensives, l’environnement marin a été soumis à une pollution grandissante. Les huiles de poisson peuvent être contaminées par des sources de mercure et de métaux lourds. Elles peuvent être extraites de poissons d’élevage et, en conséquence, ne contiennent que très peu d’EPA et de DHA, les acides gras que l’on trouve dans ces huiles.
Le bonheur est dans le pré
Les sources végétales d’oméga 3 sont une vraie réponse aux enjeux environnementaux. Et la périlla tire parfaitement son épingle du jeu grâce à son emploi double usage. Cette oléagineuse tient ses vertus de ses minuscules graines noires qui fournissent une huile végétale et aromatique, à la base de son huile essentielle. Les meilleurs spécimens poussent au Japon pour l’huile essentielle (HE) et en Chine pour l’huile végétale (HV), toutes deux produites sur des parcelles biologiques.
S’il est rare qu’une plante offre ce double usage, il est encore plus rare de trouver un complément apportant cette combinaison synergétique. C’est le cas ici, avec l’huile complète de périlla biologique. Ses quelque 65 % d’oméga 3 (ALA) permettent au système immunitaire de mieux organiser ses défenses lors des phases allergiques, et de soulager les irritations et les voies respiratoires.
Par ailleurs, l’huile végétale contribue entre autres à la protection cellulaire.
Carnet d'adresse:
La Vie Naturelle: Vous pouvez vous en procurer en capsules végétales ou en version liquide.
Les portes d'Antigone - Bat. B
71 place Vauban
34000 Montpellier
Tél. : 0 800 404 600
Site : www.la-vie-naturelle.com
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