Accueil Dossiers Hygiène de vie : les substances à éviter
Hygiène de vie : les substances à éviter
De nombreuses substances délétères usent au quotidien notre organisme et nous exposent à de sérieux risques. Ils se cachent dans notre alimentation, dans les produits cosmétiques, mais aussi dans les médicaments. Voici un panorama des substances à éviter.
Nous avons une propension incroyable à adopter des comportements et des habitudes particulièrement délétères pour notre santé. Au-delà de nos habitudes personnelles, l’environnement offre quelques joyeusetés qu’il est important de rappeler.
Dans l’alimentation
- Les fruits et légumes non bio sont porteurs de pesticides et de fongicides qui sont des agents cancérigènes. On y retrouve également des traces d'engrais et de fertilisants riches en nitrates, eux aussi cancérigènes et responsables de la maladie de Parkinson ; des perturbateurs endocriniens à l'origine de nombreux dysfonctionnements du système hormonal ; et des traces d'irradiation (technique utilisée pour les conserver plus longtemps) qui perturbent la thyroïde. Enfin, pour les fruits et légumes traités avec de la bouillie bordelaise sont toxiques puisque ce fongicide contient du cuivre en excès, minéral soupçonné d'être à l'origine de la maladie de Wilson.
- Le blé, maïs, soja et autres aliments de l’agriculture intensive génétiquement modifiés (OGM) sont tératogènes et peuvent rendre stérile.
- Les additifs alimentaires (colorants, exhausteurs de goût, conservateurs, épaississants) sont cancérigènes et neurotoxiques.
- Grillées, les protéines deviennent cancérigènes. Il faut donc préférer un mode de cuisson doux (vapeur, mijoté, etc.)
- L'alcool tue nos cellules hépatiques, et le foie doit se régénérer après chaque consommation. L’alcool est un poison et un sucre générant triglycérides, stéatose hépatique (foie gras), cancers, cirrhose et maladies cardiovasculaires.
- Les sucres sont la toxine la plus consommée dès l’enfance et des plus mortelles : elle cause un vieillissement accéléré, surpoids, diabète, triglycérides. Cancérigène et neurotoxique. Pas plus de 20 g par jour !
- Le sel est facteur d’hypertension, de maladies cardiovasculaires, de cancer de l’estomac, d’ostéoporose et de rétention d’eau. Pas plus de 5 g par jour.
- Les sel nitrités sont des conservateurs cancérigènes.
- L’eau du robinet contient des pesticides, des fongicides, des résidus de médicaments, du chlore, etc. Tandis que les eaux minérales encrassent.
- Les plastiques ou bouteilles qui contiennent du polytéréphtalate d’éthylène (PET) relarguent de l’antimoine (métal lourd dangereux) quand on les remplit à nouveau ou s’ils stagnent au soleil.
- Les huiles hydrogénées sont des huiles contenant des acides gras trans. Cela signifie que l'on a ajouté de l’hydrogène pour faire plus de moelleux et plus de volume, mais c’est toxique car non reconnu par l’organisme, de même pour tous les produits contenant du gras que l’on a transformé (biscuits industriels, plats préparés, etc.).
- Les produits industriels transformés (produits sous vide, en conserve) ont été cuisinés avec des additifs.
- Les viandes et produits laitiers de l’industrie intensive sont porteurs de traces d'antibiotiques qui détruisent notre microbiote.
- Les édulcorants, présents entre autre dans les sodas et produits light sont diabétogènes, cancérigènes et neurotoxiques.
Dans les cosmétiques
Maquillage, crème de soin, dentifrice, parfums… toutes les substances que l’on se met sur la peau, dans la bouche ou sur le cuir chevelu se retrouvent dans le sang. Voici une petite liste des composants à vérifier sur l'étiquette de vos cosmétiques :
- Le benzophénone empêche l’absorption de la vitamine D et est cancérigène. On le retrouve principalement dans les crèmes solaires.
- Dans vos shampoings, vérifiez la présence des agents suivants, irritants et allergisants :
- Le sodium Lauryl, ammonium Lauryl, sodium Laureth,
- Le sulfate,
- Le disodium laureth sulfosuccinate
- Le bétaïne de cocamidopropyle
- Le disodium cocoamphodiacetate
- Le sodium coco sulfate - Le parabènes et le formaldéhyde, présents dans de nombreux cosmétiques (notament pour bébé), sont cancérigènes.
- Le triclosan, un perturbateur endocrinien, est neurotoxique et potentiellement cancérigène. On le retrouve principalement dans les dentifrices et les produits antibactériens.
- Dans vos déodorants, il est essentiel de vérifier la présence de sel d’aluminium, de Phenoxyethanol, de Butylphenyl methylpropional et de cyclométhicone qui sont cancérigènes et neurotoxiques.
- Le dioxyde de titane et les éthers de glycol sont également cancérigènes et neurotoxiques.
Le café, ami ou ennemi ?
Le café non bio contient des pesticides et fongicides torréfiés cancérigènes. C’est un aliment acidifiant pour l’organisme (augmente l’acide urique). Et si vous buvez du café en dosette en aluminium, vous ingérerez aussi de l’aluminium neurotoxique corrélé à la maladie d’Alzheimer comme le signale dans ses découvertes scientifiques le Professeur Christopher Exley dans un récent article (« Aluminium in brain tissue in familial Alzheimer’s disease », mars 2017).
Le tabac
Actif ou passif, le tabagisme est meurtrier (selon l’Organisation mondiale de la santé, il entraîne 6 millions de morts par an dans le monde, dont 600 000 liés au tabagisme passif). C’est l’ennemi numéro 1 de notre hygiène de vie (-7 minutes de vie à chaque cigarette).
Selon l’Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (INPES), 1 fumeur sur 2 en décède, et comme cela n’est pas instantané, les fumeurs sont optimistes et associent encore leur cigarette à du plaisir. Fumer accélère le vieillissement des cellules, car l’organisme doit compenser l’arrivée de déchets toxiques (2 500 composants pour 4 000 substances relarguées en se consumant) par des nutriments sains et antioxydants. Même une fois fumée et jetée, la cigarette pollue pendant 12 ans. Si votre alimentation est pauvre en nutriments de bonne qualité, cela équivaut à se balader dans un nuage nucléaire après une fuite sans protection.
Les excipients dans les vaccins
À l’heure où la polémique sur les vaccins fait rage, il faut souligner la présence d’excipients comme l’aluminium, le formaldéhyde, glutamate ou le mercure, hautement toxiques.
La pollution
Les gaz d’échappement et la mauvaise qualité de l’air dans les grandes villes n’ont rien à envier aux sites proches des épandages de pesticides dans les campagnes, ni aux fumées toxiques des cuissons dans les cuisines. Les vapeurs de colles des revêtements ou peinture dans les lieux de vie sont des poisons.
Les médicaments
Les médicaments allopathiques sont censés nous soigner, mais certains d’entre eux contiennent des éléments qui s’accumulent dangereusement et vont jusqu’à provoquer des effets secondaires inquiétants. L’effet cocktail du mélange de médicaments et de leurs excipients est ignoré. En 2003, une liste de 43 excipients à effets notoires a été jugée insuffisante et incomplète par l’Agence européenne des médicaments (EMA). Le dioxyde de titane, reconnu comme cancérigène par l’EMA, est présent dans 4 000 médicaments de « consommation courante » comme Doliprane, Dafalgan, Advil, Spasfon, Augmentin, ou encore dans des médicaments très controversés censés faire baisser le cholestérol, tels Tahor et Crestor…
En janvier 2018 la revue médicale Prescrire a jugé que 90 médicaments mis sur le marché pourraient être plus dangereux qu’utiles. Une bonne hygiène de vie en amont permet d’éviter d’avoir recours à de multiples médicaments.
Le stress
Élément déclencheur de nombreuses maladies, le stress peut être dû à la pression professionnelle ou financière, un environnement familial toxique, un excès de caféine ou de sucres ou encore une heure de coucher trop tardive dont il faut avant tout prendre conscience. Le stress oxydatif est mesurable dans certains laboratoires.
L’activité physique
On nous répète souvent que pour être en forme, il faut pratiquer une activité physique régulière. Solliciter ses muscles et ses tendons est bénéfique pour la santé, mais attention à ce que l’on ignore : le sport augmente notre consommation d’oxygène qui est brûlé et augmente la production de radicaux libres qu’il faudra absolument compenser par des antioxydants en compléments alimentaires sous peine d’augmentation du risque de cancer.
Métiers à risque
Selon le CIRC (Centre international de recherche contre le cancer) certains métiers exposent à des substances chimiques cancérigènes. Quels sont-ils ? Le pressing et le nettoyage à sec : solvants et résines ; le travail du bois (charpentier, ébénisterie et menuiserie à cause de la poussière de bois, traitements teinture et vernissage) ; le bâtiment (découpage, tronçonnage, perçage, coffrage, électricité, plomberie, carrelage, sanitaire), la coiffure et les salons esthétiques (colorants capillaires et esters de glycol) ; la fabrication de textile (colorants) ; le travail en laboratoire (amines aromatiques, solvants, réactifs) ; garage, réparation automobile, entretien des freins et embrayage (peintures, solvants, carburants, gaz d’échappement) ; préparation ou utilisation de médicaments, fabrication de prothèses dentaires, stérilisation, exposition aux plâtres et résines, et la liste n’est pas exhaustive.
Sommes-nous égaux face aux toxiques ?
Les fœtus sont les plus vulnérables, surtout au cours des 2 premiers mois. Une femme enceinte doit protéger son environnement, son alimentation et sa propre exposition. Selon les études scientifiques, nous sommes tous contaminés. On retrouve des substances chimiques toxiques dans le placenta, et les pesticides diminuent le quotient intellectuel de l’enfant à venir. Le cerveau et la santé du bébé sont en danger.
En aucun cas les informations et conseils proposés sur le site Alternative Santé ne sont susceptibles de se substituer à une consultation ou un diagnostic formulé par un médecin ou un professionnel de santé, seuls en mesure d’évaluer adéquatement votre état de santé
Pour consulter le site sans publicités inscrivez-vous
Hygiène de vie : les bonnes habitudes
Hygiène de vie : alimentation et rythmes de vie
Hygiène de vie : la prévention
Hygiène de vie : les points à surveiller
NDMA, l’histoire se répète