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BPA et Cie, la saga continue
Le BPA, ce plastifiant qui a fait l’objet d’interdiction du fait de son action de perturbateur endocrinien, serait aussi impliqué dans la multiplication des cas de maladies inflammatoires chroniques des intestins (MICI). Une flore intestinale régulièrement exposée au BPA produit moins de substances dérivées des protéines alimentaires, et la synthèse de la sérotonine est insuffisante associée à l’existence d’une MICI. Mais si la législation a restreint l’usage du BPA, le risque de MICI ne va pas diminuer, car la famille des bisphénols compte 17 membres dont certains sont utilisés en remplacement du BPA.
J. A. A. DeLuca, K. F. Allred, R. Menon, dans Experimental Biology and Medicine, juin 2018.
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