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Stop aux intoxications par les amalgames
La plupart des organes officiels de la santé continuent de prétendre que les amalgames ne sont pas dangereux. Il n’empêche : on ne compte plus les articles scientifiques qui proclament le contraire ! Et en premier, une étude de l’agence française pour la sécurité sanitaire (AFFSET) menée en collaboration avec les services spécialisés des autres pays de la Communauté Européenne qui, en conclusion, propose de classer le mercure en CMR (cancérogène, mutagène et reprotoxique) ! « Il est tout à fait inacceptable à mes yeux de continuer à insérer une substance aussi potentiellement toxique dans la bouche des citoyens, alors qu’il existe des alternatives plus sûres. » déclarait ainsi Marios MATSAKIS, rapporteur de la commission européenne sur l’environnement, la santé publique et la sécurité alimentaire. Plusieurs pays européens dont le Danemark, la Norvège et la Suède ont abandonné les amalgames dentaires.
L’intoxication par le mercure
Le mercure participe pour 51% de la composition des amalgames, il représente donc la première source de toxicité. Les vapeurs de mercure diffusent très rapidement par voie sanguine dans tout l’organisme. Elles n’épargnent aucun organe, aucun tissu.
- Le simple fait de mâcher fait diffuser le mercure des amalgames dans la bouche sous forme de vapeurs qui sont très rapidement absorbées par les tissus avoisinants ou passent dans le sang. Le taux de mercure auquel sont exposées les personnes porteuses d’amalgames atteint parfois 200 fois le seuil d’alerte retenu dans le monde industriel !
- Le mercure est un métal qui se lie facilement aux molécules, notamment aux acides nucléiques qui composent notre ADN (autrement dit notre code génétique) et aux enzymes. Il en modifie la composition et la structure dans l’espace et les rend moins efficaces voire complètement inopérants.
- Bien qu’il puisse être retrouvé dans n’importe quel organe, il s’accumule préférentiellement dans le tissu nerveux, dans les reins et le foie. Pire, il traverse le placenta et perturbe le développement du fœtus, notamment au niveau cérébral.
- Le mercure s’accumule aussi dans l’hypophyse et dans les glandes endocriniennes, en perturbe le fonctionnement cellulaire et par-là, la production des hormones, en moins ou en trop. La sécrétion des hormones sexuelles semblerait particulièrement concernée : ainsi, certains cas d’autismes, tout particulièrement chez les garçons, pourraient relever d’une telle imprégnation pendant la vie fœtale.
- L’audition est elle aussi affectée, et ce d’autant plus que le nombre d’amalgames est plus important, tout particulièrement pour les fréquences élevées. Ainsi, l’habitude des dentistes de poser des amalgames plutôt que des composites (la même étude montre l’innocence de ces derniers) pourrait bien être l’une des principales causes de l’augmentation rapide des cas de baisse de l’audition dans les pays de culture occidentale.
Les autres toxicités
Si le mercure est la première composante des amalgames, bien d’autres métaux lui sont associés (plus de 25 sont utilisés). Leur association les rend particulièrement toxique.
Lorsque deux métaux sont plongés ensemble dans un liquide contenant des sels en dissolution (l’eau du robinet par exemple), il apparaît immédiatement une différence de potentiels électriques entre eux deux (un voltage). C’est le principe de la pile électrique.
Quand dans une bouche, ont été posés des amalgames de natures différentes, il se crée inévitablement des différences de potentiels électriques entre eux, du fait qu’ils baignent constamment dans la salive. Sous l’action de ces forces, les métaux se ionisent, quittent les alliages et migrent, d’abord dans la salive, puis dans le suc digestif et le sang...
C’est ainsi que chaque jour sont largués dans l’organisme de très faibles doses de mercure et d’argent mais aussi de béryllium, de cuivre, d’étain, de gallium, d’indium et de zinc. Ces ions en goguette ne restent pas longtemps à errer car ils sont dans un état instable et cherchent à se fixer, ce qu’ils font préférentiellement avec certaines enzymes, appelées métallo-enzymes (elles sont plus de 600) car elles nécessitent la présence d’un métal bien spécifique pour être actives. Ils prennent la place du métal nécessaire et donnent à ces enzymes une forme spatiale différente qui diminue considérablement leur efficacité.
Il s’ensuit de profondes perturbations au sein de la cellule, notamment son ADN n’est plus suffisamment régénéré. Au mieux, la cellule meurt. Pire, apparaissent des mutations génétiques dont certaines cancérigènes.
Comme le béryllium (cancérigène reconnu) présent dans certains amalgames passe inévitablement en solution dès qu’il est en présence d’un autre métal, les personnes qui portent des amalgames en contenant pourraient donc être particulièrement exposées !
Ces atteintes se font selon un mode complètement anarchique, aussi, les désordres qu’elles entraînent restent-ils longtemps indécelables. On se plaint de maux vagues, impossibles à rattacher à quoi que ce soit de précis, qu’aucun traitement ne parvient à faire disparaître.
D’autre part, les voltages que ces piles buccales atteignent dépassent parfois les 1.500 mV, soit plus de 30 fois plus que la différence de potentiel des neurones (45 mV) ! Le système neurovégétatif (automatique) est alors profondément perturbé. Certaines névralgies du trijumeau, acouphènes, troubles de l’accommodation visuelle, sensations vertigineuses et perturbations de l’organisation du sommeil trouveraient ici leur origine.
Connaître son degré d’intoxication au mercure
Les prises de sang sont inutiles car les vapeurs de mercure n’y restent que le temps de leur transport de la bouche vers le cerveau, les reins ou tout autre organe… sauf en cas d’intoxication majeure.
Les dosages capillaires sont beaucoup plus fiables. Certains laboratoires se sont spécialisés dans ce genre de recherche.
Les composites, la panacée ?
Si jusqu’à ce jour, aucune toxicité n’est à leur reprocher, le composite présente cependant quelques inconvénients.
- La réaction chimique qui lui donne sa forme définitive ne se fait jamais à 100%.
- Il se rétracte avec le temps de sorte qu’un espace peut se créer entre la gencive et la dent.
- sa durée de vie est moins longue que celle d’un amalgame.
- Il est fixé par de la colle. De ce fait, il arrive qu’il se décolle ou qu’il provoque une fissure dans la dent sur laquelle il repose quand il se rétracte. Dans un cas comme dans l’autre, il y a risque de reprise de carie.
Comment enlever les amalgames ?
Lorsque les premiers travaux révélant la toxicité des amalgames dentaires ont été connus, certains praticiens ont retiré tous les amalgames en une seule séance, sans aucune précaution, exposant leurs clients et eux-mêmes à des taux élevé de vapeurs métalliques, particulièrement chargées de mercure.
À la suite d’une telle pratique, un certain nombre de patients a observé chez eux l’apparition de troubles inconnus tels que des troubles de mémoire, une intolérance au gluten…
Aujourd’hui, tout un protocole est défini :
- Repérage des amalgames les plus corrodés : parfois le simple examen visuel suffit, certains amalgames sont véritablement rongés, sinon, on procède à la mesure des différences de potentiels, l’amalgame qui représente le pôle négatif étant le plus érodé.
- Un seul amalgame est retiré à la fois. Préalablement, il est conseillé de prendre un complexe anti-oxydant pendant les deux semaines qui précèdent l’acte chirurgical.
- Une aspiration des vapeurs métalliques est pratiquée de façon rigoureuse afin de protéger et le client et le praticien.
- La cure d’anti-oxydants est continuée 15 jours supplémentaires. Parallèlement, une cure de chlorella ou de laminaria japonica (2 à 4 gélules par jour) est conseillée (à doses moyennes afin d’éviter les maux de tête).
- Un laps de temps d’un minimum d’un mois est recommandé entre deux extractions.
- Et selon les énergéticiens, pratiquer ce type d’acte, comme tout acte chirurgical d’ailleurs, en lune descendante et l’après-midi quand l’énergie corporelle descend.
En aucun cas les informations et conseils proposés sur le site Alternative Santé ne sont susceptibles de se substituer à une consultation ou un diagnostic formulé par un médecin ou un professionnel de santé, seuls en mesure d’évaluer adéquatement votre état de santé
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