Aspirine : à quand le rideau de fin ?
L’administration de petites doses d’aspirine en guise de prévention cardio-vasculaire secondaire (après un premier accident tel qu’infarctus du myocarde ou accident vasculaire cérébral) est une pratique couramment appliquée partout là où la culture occidentale s’est fortement installée, même si les effets indésirables sévères de type hémorragique sont loin d’être rares, notamment au niveau du tube digestif et du cerveau, au risque de précipiter le décès.
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rédigé le 26 octobre 2018
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