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Rhinovirose
Tous les automnes, dans les pays au climat tempéré, se répandent des épidémies de rhumes. Le coronavirus et les rhinovirus font partie de ces centaines de virus capables de se multiplier dans les fosses nasales. Ils sont tous extrêmement contagieux. Et il suffit bien souvent de se trouver en contact direct avec une personne contaminée, surtout si elle éternue, pour le contracter. Comme l’incubation est courte, deux à trois jours, les personnes sont très vite atteintes et le virus se propage en quelques semaines dans tout un pays. C’est le cas chaque année en France, ces épidémies surgissent à l’automne, et généralement l’ensemble de la population est plus ou moins atteinte.
Les signes de la rhinovirose associent des maux de tête, des irritations nasales avec brûlures, un écoulement liquide abondant, des éternuements, de l’abattement, une fièvre plus ou moins importante, et surtout de la gêne pour respirer en raison du nez bouché et des brûlures de la gorge. Le coronavirus donne des signes semblables au début mais pas forcément des écoulements ou des éternuements. Sa dangerosité est son affinité pour le cœur. Ainsi, dans les semaines qui suivent la contamination, et dans certains cas, le virus peut provoquer une réaction de coagulation dans les vaisseaux sanguins.
Des moyens naturels pour se protéger ou se soigner
Parmi les personnes qui peuvent faire des formes graves il y a celles qui manquent de vitamines D et K ; des études ont ainsi révélé un lien entre la carence de ces deux vitamines et les formes graves (mais bien heureusement toutes les personnes carencées ne feront pas de forme grave). Viennent ensuite les personnes immunodéprimées, parmi lesquelles toutes celles qui sont sous biothérapies pour le psoriasis, la rectocolite ou la spondylarthrite. Le diabète, le syndrome métabolique et le surpoids sont aussi des facteurs aggravants car susceptibles de favoriser les troubles cardiovasculaires liés au virus.
Il y a de nombreux moyens naturels pour se protéger des virus, à la fois préventivement et curativement, notamment grâce aux huiles essentielles et aux plantes. Un exemple de protocole utilisé contre la grippe et les rhinoviroses, Rhuphybio, est un complexe d’huiles essentielles antivirales. Lors des périodes d’épidémies, mettre une goutte sur un masque à l’entrée des fosses nasales, une autre dans les mains (avec la lotion hydroalcoolique proposée par l’OMS) et une autre dans la bouche seulement si on est en zone exposée. Si on craint d’avoir été contaminé ou que l’on ressent les premiers symptômes, utiliser l’élixir Œmine GRP : 50 gouttes à prendre 3 fois par jour. Quand c’est possible, il est conseillé de l’utiliser de la manière suivante : le soir avant de se coucher, mettre les 50 gouttes dans un bol d’eau bouillante et en inhaler les vapeurs ; il faut savoir que la simple inhalation de vapeur d’eau chaude dans le nez peut contribuer à inhiber une partie des virus.
Quid de la prévention ?
Pendant la période estivale, les bains de soleil sont une excellente chose car ils permettent de reconstituer le stock de vitamines D ; le régime d’été riche en olives, haricots verts, courgettes, brocoli apporte de la vitamine K en quantité. Mais à partir d’octobre, il sera prudent de commencer une cure de ces deux vitamines : Œmine AD, deux capsules le matin et Œmine K, 2 gélules au repas du soir. En homéopathie, pour combattre la fièvre, on utilise Aconitum 4CH, 5 granules toutes les 2 heures.
En aucun cas les informations et conseils proposés sur le site Alternative Santé ne sont susceptibles de se substituer à une consultation ou un diagnostic formulé par un médecin ou un professionnel de santé, seuls en mesure d’évaluer adéquatement votre état de santé
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