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Fiche Thérapeutique : Se prémunir contre les virus

  • Des chercheurs ont mis en évidence l'effet bloquant des phospholipides sur les virus, notamment le coronavirus.Des chercheurs ont mis en évidence l'effet bloquant des phospholipides sur les virus, notamment le coronavirus.
Article paru dans le journal nº 106

À l’entrée de l’hiver, il y a une recrudescence annuelle des infections virales. Il s’agit de la grippe, mais aussi des rhinovirus et encore des coronavirus. Ces derniers sont extrêmement contagieux et mutent régulièrement dans les fosses nasales. C’est ce qui provoque le retour régulier du cycle de la pandémie.

Les virus hivernaux, on en connaît tous les symptômes. Plutôt que de les expliquer, voyons plutôt quelles mesures il est intéressant d’adopter en prévention.

Prévention

Les mesures d’hygiène

Celles que l’on conseille sont de se laver régulièrement les mains avec du savon, et en cas de risque majeur, de porter un masque, notamment dans les transports en commun. Chez soi, il faut aérer les pièces, utiliser un brumisateur sonique pour vaporiser dans l’atmosphère des huiles essentielles antivirales telles que le romarin, le cyprès, le ravintsare, la lavande. On peut recommander également de boire régulièrement des infusions de plantes antivirales telles que le thym, la sauge et le romarin.

Des compléments alimentaires préventifs

  • En période d’épidémie, on peut conseiller de prendre en alternance de l’huile de foie de morue et de requin. Celle de foie de morue a des vertus antibiotiques, antiseptiques et antivirales. On l’utilisait pour ces vertus avant la découverte des antibiotiques. On sait par expérience que les enfants qui l’hiver font des cures de cette huile n’ont pas ou peu d’infections respiratoires. Il en est de même de l’huile de foie de requin qui contient en outre des acides gras capables de stimuler l’immunité (les alkylglycérols). Je recommande en général de les alterner une semaine sur deux : tantôt deux capsules d’Œmine AD (huile de foie de morue) tantôt deux capsules d’Œmine Alkyl (huile de foie de requin).
  • À cela, on peut associer la prise de phospholipides, du type de la lécithine marine. Divers travaux scientifiques ont montré l’utilité de ces phospholipides dans la prévention des maladies virales respiratoires. Des chercheurs ont mis en évidence leur effet bloquant sur les virus, notamment le coronavirus, par le film lipidique qui protège à la fois les voies nasales et les alvéoles pulmonaires. Il y a dans la muqueuse nasale, bronchique et alvéolaire une grande quantité de ces phospholipides qui non seulement permettent l’échange gazeux (par le surfactant alvéolaire) mais également qui empêchent la pénétration des virus. Je recommande en général de faire des cures d’Œmine Mer fort qui contient justement la phosphatidylcholine, le phospholipide le plus important dans le mucus des voies respiratoires.

Des plantes stimulant l’immunité

La plus connue est l’Echinacea dont il suffit de prendre en préventif de petites doses, tels que 15 gouttes le matin d’Echinacea HATM dans un verre d’eau. On peut alterner cela avec du macérat glycérine Phybio d’aulne glutineux, 10 gouttes le matin, et de bouleau verruqueux, 10 gouttes également.

Des aliments antiviraux

Il faut privilégier les aliments riches en vitamine C, tels que les agrumes, les kiwis. Mais comme préventif, on peut également citer l’ail et l’oignon.

Lire aussi Syndrome de fatigue chronique après une infection virale : comment l'éviter ou en sortir ?

En cas de symptômes

Huiles essentielles

Dès l’apparition du premier symptôme traduisant un début d’infection, on peut avoir recours à des soins naturels visant à bloquer le virus dans le nez avant son entrée dans les voies respiratoires. Pour cela, on peut utiliser des inhalations avec des huiles essentielles (à condition de ne pas être allergique). Parmi elles, je recommande un mélange d’eucalyptus, de ravinstrare, de girofle, de menthe et de citronnelle (comme dans Rhuphybio, 1 à 2 gouttes, trois fois par jour par voie orale).

Plantes

Si on commence à être enrhumé, que le nez a tendance à se boucher et la gorge à s’irriter, on peut utiliser un cocktail de plantes fébrifuges et antivirales comme la matricaire, le quinquina, la gentiane et le romarin que l’on retrouve parmi d’autres dans OEmine GRP dont je vous conseille l’inhalation de 50 gouttes dans un bol d’eau bouillante, que l’on sucre avec du miel et que l’on boit ensuite. Il est possible d’en prendre toutes les quatre heures tant que l’on se sent enrhumé ou que la fièvre monte. En cas de fièvre, je vous conseille 2 gélules d’OEmine Feb, principalement composé de gentiane et de camomille, à raison de 2 gélules matin, midi et soir.

 

En aucun cas les informations et conseils proposés sur le site Alternative Santé ne sont susceptibles de se substituer à une consultation ou un diagnostic formulé par un médecin ou un professionnel de santé, seuls en mesure d’évaluer adéquatement votre état de santé