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Se débarrasser naturellement des métaux lourds
Les métaux lourds sont partout, notamment dans ce qui constitue notre patrimoine culturel (vitraux de cathédrales), mais aussi dans notre environnement quotidien : pigments de couleur, cafetières, miroirs… Une présence massive mais malveillante pour notre santé, qu’il devient urgent d’éliminer.
L’histoire de l’utilisation des métaux lourds est vieille comme notre civilisation. Dès l’Antiquité, or, cuivre et argent ont servi à frapper la monnaie. À Rome, les ingénieurs ont employé du plomb dans les canalisations pour la distribution de l’eau potable. De même, les couleurs des peintures anciennes ont traversé les siècles parce qu’on y a incorporé des métaux lourds : le jaune de Naples contient du plomb, et le fameux rouge vermillon est issu d’un pigment de sulfure de mercure. Dernier exemple illustrant l’importance des métaux lourds dans nos sociétés : sans eux, nous n’aurions jamais eu de miroirs, car ils nécessitent étain et mercure pour être étamés.
Rappeler le rôle de ces métaux dans l’artisanat ne nous dédouane pas ; leur utilisation, aujourd’hui, est largement irraisonnée. Si la Bièvre, affluent de la Seine, a été enterrée par le baron Haussmann parce que c’était une rivière trop polluée, notre industrie moderne, elle, a réussi à souiller jusqu’aux océans. On trouve à présent des métaux lourds dans les poissons pêchés, qui pourtant nous sont indispensables pour leurs apports en oméga-3. On souffre de leur présence également dans les ustensiles de cuisine (ah ! les cafetières italiennes… en aluminium) comme dans les cosmétiques, les vaccins ou même l’eau.
100 % naturel, 100 % breveté
La détoxication aux métaux lourds, qui pouvait passer pour une mode il y a quelque temps encore, devient au fil des ans un enjeu de santé publique. Ces métaux sont dorénavant incriminés dans l’émergence de maladies dites de civilisation, au premier rang desquelles Alzheimer, Parkinson, le diabète de type 2, les affections auto-immunes, des maux tels les insomnies, le syndrome de fatigue chronique, la dépression et des désordres comportementaux (autisme, TDAH).
Si la détox est essentielle, encore faut-il que ce soit avec des produits de qualité, aussi naturels que possible – tant qu’à faire, épargnons-nous les cochonneries pour éliminer d’autres cochonneries. Côté chélation, nous vantons depuis longtemps déjà les mérites de la chlorella, microalgue d’eau douce aux vertus détoxifiantes (au point d’entraîner la courante chez certains). La bonne idée, ici, est de créer une synergie avec l’ail des ours – qui potentialise l’action de la chlorella tout en y ajoutant ses propres qualités, notamment de la vitamine C – et l’acide alpha-lipoïque issu des brocolis et des choux, pour chélater et déloger en profondeurs les métaux lourds de l’organisme. En matière d’excipients, là aussi, faisons place au naturel : huile ou lécithine de tournesol et cire d’abeille sont préconisées, car elles autorisent une biodisponibilité des molécules dans le corps.
Les résultats des études scientifiques menées sur cette formulation brevetée semblent pour le moins spectaculaires : le taux de plomb dans le cerveau baisserait de 90 % dès quinze heures de traitement et de 70 % dans les reins, par rapport à un remède à la chlorella seule. À complément si efficace, recommandations importantes : s’il n’a que peu d’effets secondaires à déplorer, il n’en reste que ce produit est contre-indiqué pour les personnes prenant un médicament anticoagulant, en particulier les Naco (oraux d’action directe) et les malades atteints d’hémochromatose.
Carnet d'adresses :
Metostop, Laboratoire Yvery
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