Nathalie Lefèvre a testé l’homéopathie énergétique

Je me souviens ,comme si c’était hier, de ma première visite chez un homéopathe. Il s’agissait du docteur Gandolfi. L’homme recevait ses patients dans un cabinet luxueux du 16e arrondissement. Choquée par l’immensité de son espace de consultation, j’en avais, à l’époque, vite conclu qu’être homéopathe, ça rapportait beaucoup... Avec le recul, j’imagine que son activité de médecin généraliste a dû participer à son succès, lui donnant une forme de légitimité. Je dois également reconnaître que c’était une pointure (il l’est toujours d’ailleurs, il me semble qu’il exerce encore.)

Après seulement 10 minutes d’observations, il m’a décrite dans les moindres détails. J’étais choquée d’imaginer qu’un inconnu puisse voir en moi, comme dans un livre ouvert. Souffrant d’infections urinaires à répétition, il m’a prescrit une préparation sous forme de poudre…et je n’ai plus jamais entendu parler de ces cystites.

Ce mois-ci, j’ai souhaité tester pour vous une nouvelle approche de l’homéopathie : l’homéopathie énergétique. En dépis de la bizarrerie des machines employée par Emmanuel Carrière je suis restée assez étonnée de cette méthode thérapeutique permettant de mesurer la résistance organique et de tester différents remèdes, et pathologies. Grâce à un pendule, Emmanuel vérifie la dose dont ses patients ont besoin par exemple.

Après la séance, je repars donc avec une prescription de Staphysagria en haute dilution à prendre en une prise unique. Je suis familière de ce remède homéopathique, qui m’a souvent été d’une grande aide car il correspond à mon « homéo-type. » Tout va extrêmement bien dans ma vie en ce moment, et les blessures du passé se cicatrisent à une vitesse incroyable. Peut-être grâce à Staphysagria.

Pour aller plus loin :

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