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BPS : quand un perturbateur endocrinien en chasse un autre
Dans un grand nombre de pays occidentaux, le bisphénol S (BPS) remplace de plus en plus son homologue, le bisphénol A (BPA), dont le caractère de puissant perturbateur endocrinien a été clairement démontré. Afin de démasquer une éventuelle et même toxicité avec le BPS, des chercheurs ont observé son impact sur le devenir de cellules graisseuses prélevées chez des femmes. Les cellules exposées aux plus faibles concentrations comme les cellules exposées aux plus grandes présentent une forte accumulation de graisses alors que celles exposées à des doses moyennes sont nettement moins affectées. Ces résultats, comparables à ceux relevés après exposition au BPA, lèvent le doute : le BPS est un perturbateur endocrinien tout aussi dangereux que son prédécesseur !
« Bisphenol S Induces Adipogenesis in Primary Human Preadipocytes From Female Donors » dans Endocrinology, mars 2016.
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