À Paris, mieux vaut être riche pour vivre plus longtemps
L’analyse des décès survenus entre 2004 et 2009 chez les parisiens de 35 ans et plus a révélé que les habitants vivant dans les quartiers les plus exposés à la pollution aérienne – qui sont également les plus défavorisés – étaient les plus fragiles de la capitale et qu’ils décédaient en plus grand nombre lors des pics de pollution, même brefs.
Inserm : « A Paris, les habitants des territoires défavorisés sont plus vulnérables aux effets de la pollution ...
rédigé le 30 septembre 2015
Découvrir le numéro