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Vos cellules étouffent...
oxygénez-les

  • Vos cellules étouffent... oxygénez-lesVos cellules étouffent... oxygénez-les
Article paru dans le journal nº 8

Les grands médecins de l'antiquité (Hippocrate, Dioscoride ou Galien), utilisaient tout ou partie de l'huile essentielle de térébenthine pour traiter les affections respiratoires. René Jacquier s'est inspiré de leur expérience pour créer son "Bol d'air" qui diffuse des essences de pin des landes au plus profond de votre organisme.

Le rôle de l'oxygène n'est jamais aussi évident que quand il manque à l'organisme. Et c'est le point de départ d'un véritable cercle vicieux :

  1. Au niveau tissulaire, un métabolisme anaérobie se met en place, entraînant l'apparition de métabolites incomplètement oxydés, et de catabolites acides.
  2. L'accumulation de ces derniers engendre une véritable intoxication locale (crampes musculaires et courbatures) et générale (asthénie neuropsychique et épuisement physique pouvant entraîner des lésions tissulaires et des troubles nerveux).
  3. Le ralentissement général du métabolisme entraîne à son tour une perte d'énergie qui diminue la capacité de l'organisme tout entier à utiliser correctement un oxygène pourtant disponible au niveau pulmonaire ou sanguin.

Le besoin d'oxygène cellulaire varie dans des proportions importantes selon la nature des cellules et l'intensité de leurs activités. En particulier, les cellules nerveuses consomment beaucoup d'oxygène, environ 20 fois plus que le muscle au repos. L'effort musculaire s'accompagne d'une élévation de la consommation d'oxygène, qui peut atteindre elle aussi 20 fois sa valeur au repos. Ainsi, les éléments corporels les plus vulnérables à une hypoxie marquée sont le système nerveux, et, doublement, le coeur. Le système nerveux déclenche au départ une hyperglobulie et stimule la sécrétion d'adrénaline, mais il souffre précocement de la privation d'oxygène, ce qui entraîne :

  • Une modification des réflexes nerveux
  • Incoordination des mouvements, tremblements, convulsions, paralysies,
  • Champ de vision limité, audition troublée

Le cerveau est particulièrement vulnérable :

  • En situation d'hypoxie sévère, l'excitabilité des centres nerveux disparait,
  • Des troubles de l'encéphalogramme deviennent manifestes, avec l'apparition d'onde lentes anormales et une perturbation particulière des ondes alpha (celles qui correspondent à la relaxation légère et ou au repos).
  • Les réactions psychiques reflètent un dysfonctionnement du système nerveux central : vertige, agitation, céphalée, somnolence, troubles du jugement évoquant l'ébriété, anomalies de l'écriture.
  • Les réactions psychosomatrices s'allongent, les réflexes conditionnés disparaissent.
  • Les troubles intellectuels les  plus précoces concernent le jugement, la mémoire, l'attention.

Quant au coeur, il est doublement menacé : à cause du manque d'oxygénation du myocarde, mais aussi à cause des réactions du système nerveux également perturbé, d'où des anomalies de la conduction.

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Le système nerveux, le coeur, et quoi d'autre ?

Parmi les réactions biochimiques à la sous-oxygénation :

  • le taux de glycémie est doublé ou triplé en phase extrême (c'est une réaction classique du stress, qui, à la longue, génère de l'insulino-résistance et du diabète)
  • le taux de l'acide lactique et de l'ammoniaque sanguin augmente dans des proportions analogues.

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Mais l'excès d'oxygène est aussi dangereux

L'oxygène est le corps chimique le plus oxydant. Or, curieusement, l'hypoxie comme l'hyperoxie engendrent des radicaux libres. (Nota : en transformant les aliments, nous en fabriquons 2 kilos chaque année !) Ces radicaux présentent à leur surface un électron instable qui s'accouple de force avec un électron d'une autre molécule, modifiant la structure chimique de cette dernière et pouvant entraîner sa destruction. Ces interventions de «  réactions oxydatives » peuvent aboutir à la dégradation des lipides, du collagène, de l'élastine et d'un certain nombre d'autres substances intervenant dans les phénomènes du vieillissement.

Comment apporter la juste dose d'oxygène à l'organisme ?

Les grands médecins de l'antiquité (Hippocrate, Dioscoride ou Galien), utilisaient tout ou partie de l'huile essentielle de térébenthine pour traiter les affections respiratoires. Cette huile essentielle est obtenue par distillation (à la vapeur) de la résine du pin maritime (Pinus pinaster), également appelé pin des Landes. Ses composés volatils (alpha et béta-pinènes) sont, dans la grande famille des terpènes, les molécules les plus répandues au monde. Issue de la gemme des résineux, cette huile présente une propriété remarquable, exceptionnelle, parmi l'ensemble de toutes les huiles essentielles existantes : sa capacité, dans certaines conditions, de capturer et de redonner jusqu'à 135 fois son poids en l'oxygène. Ces propriétés ont été démontrées par le chimiste Marcellin Berthelot, à la fin du XIXème siècle. Et ce n'est pas pour rien que les sanatoriums, aériums et préventoriums sont depuis l'antiquité situés au c?ur des pinèdes.

L'astuce : respirer un transporteur d'oxygène et non de l'oxygène

Cette astuce, c'est René Jacquier qui en a eu l'intuition. Elève du prix Nobel Victor Grignard à l'ESCIL (Ecole Supérieure de Chimie Industrielle de Lyon), il travailla toute sa vie, en tant que chercheur, dans le domaine de la chimie. L'une des préoccupations majeures de René Jacquier fut de trouver un moyen permettant la normalisation de l'oxygénation des personnes, afin de préserver et/ou renforcer leur vitalité, de permettre aux cellules de l'organisme de bénéficier d'un oxygène actif et assimilable. C'est ainsi qu'il imagina sa méthode d'oxygénation biocatalytique en1946, qui accède à des résultats que l'oxygène seul ne permet pas.

Qu'est-ce que l'oxygénation biocatalytique ? Pour reprendre un extrait de son livre « De l'atome à la vie » : « l'oxygène ne manquant pas, puisque dans l'air qui nous environne nous en avons des kilomètres de mètres cubes autour de nous, le problème se concrétisait sous forme de la recherche d'un produit faisant mieux assimiler l'oxygène de l'air par l'être humain (...) Nous avons concrétisé de tels produits par peroxydation de l'essence de térébenthine, qui est un mélange de terpènes, surtout composée de pinènes. Ces terpènes sont des produits insaturés facilement peroxydables. » Pour plus de clarté, René Jacquier cherchait un produit transformable en porteur d'oxygène, dont l'utilisation ancienne soit le garant de son innocuité. Ce produit, c'est la partie la plus volatile de l'huile essentielle de térébenthine.

À ceux qui s'intéressaient au processus chimique à l'oeuvre, René Jacquier expliquait : : « ? En présence du fer organique héminique,  les terpènes se décomposent en libérant un atome d'oxygène. Sous cette nouvelle forme, il peut s'unir, par une liaison faible, à l'hémoglobine. Le nouveau complexe ainsi formé, le biocatalyseur, parcourt l'organisme par le biais de la circulation sanguine. Dans ce complexe, l'oxygène se présente sous forme tétravalente et il est très réactif. Cette instabilité permet au complexe de capturer un nouvel oxygène issu de la respiration, mais aussi de le redonner aux cellules, sous une forme active, naissante ».

Depuis1946, différentes preuves scientifiques sont venues valider les hypothèses concernant le fonctionnement biologique des extraits peroxydés. Il a donc mis au point un appareil permettant à tout un chacun de bénéficier de cette oxygénation catalytique. Ceux qui connaissent les médecines alternatives, savent qu'il s'agit du Bol d'Air Jacquier (aujourd'hui commercialisé par la société Holiste qu'avait fondée René Jacquier). René Jacquier est en effet une figure de la recherche indépendante et des médecines alternatives, il s'est éteint, il y a quelques années à peine.

Une méthode oxygénante, mais non oxydante

Un autre grand problème relié à l'utilisation de l'oxygène est le risque de création de radicaux libres, ainsi qu'il a été indiqué dans les paragraphes précédents. Il était donc essentiel de vérifier si le Bol d'Air Jacquier génère ou pas de stress oxydatif. Les travaux de Béatrice Mercier ont apporté une réponse positive à cette question, aussi bien par des études sur des organismes vivants, que sur du sang de mammifères. Pourtant, il ne faut pas confondre le stress oxydatif sévère ou prolongé (qui entraîne des perturbations majeures du métabolisme cellulaire) et le stress de brève durée provoqué par cette oxygénation. Toute cellule est programée pour tolérer un stress léger et de brève durée, lequel se solde, par rétrocontrôle, par une stimulation de la synthèse des antioxydants intrinsèques, avec retour rapide à l'état d'équilibre.

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Avec l'oxygénation biocatalytique, la capacité antiradicalaire est immédiatement mobilisable. On constate même que la force de résistance instantanée des cellules aux attaques radicalaires standards, s'améliore avec le vieillissement chez les gens pratiquant le Bol d'air, alors qu'elle diminue avec l'âge ceux non stimulés par les inhalations. Mieux encore, le dosage des réserves anti-radicalaires, montre également une amélioration sous l'action du Bol d'Air Jacquier,. C'est la performance de cette méthode qui est oxygénante, mais non oxydante.

Des résultats officiels remarquables

- En 1973, le Cardiologue indien Pran Ranjan Prasad a testé la méthode Jacquier sur des personnes souffrant d'angine de poitrine ou angor. Ces malades étaient soignés pour ces pathologies depuis un à sept ans. Chez les utilisateurs du Bol d'Air, il a été constaté une amélioration des symptômes cliniques et électro-cardiographiques dans plus de 70 % des cas. Aucune amélioration, de quelque sorte que ce soit, n'a été décelée pour des malades servant de témoins, qui respiraient un air enrichi en vapeur d'eau.

- Le Professeur Andréa Lino, spécialiste du sport à l'université romaine de La Sapienza, a démontré l'action positive de l'appareil sur la rapidité, l'élasticité musculaire, et, de façon significative, sur l'endurance de jeunes sportifs.

En conclusion

L'oxygénation par inhalation d'un transporteur naturel d'oxygène plutôt que par  inspiration d'oxygène pur, constitue la prouesse technique. Le gaz, arrivant au  niveau cellulaire sous une forme active, permet d'obtenir une régénération que l'oxygénation classique ne permet pas. Cette technique sans toxicité ou accoutumance, est simple d'utilisation : il suffit de s'installer devant l'appareil, choisir son temps de session (1 à 8 minutes pour l'appareil professionnel ; 3 à 15 minutes pour l'appareil non professionnel) et de respirer naturellement la très agréable brise des pinèdes qui se dégage.

On peut acheter l'appareil chez Holiste (voir plus haut). Ce n'est pas donné, mais on a compris pourquoi ! Ou bien aller chez un des nombreux thérapeutes qui disposent d'un appareil. Ceux qui font une séance disent souvent que la sensation d'oxygénation, immédiatement perceptible, perdure quelques heures après que l'inhalation ait cessé. La raison en est simple : il n'est pas inhalé de l'oxygène, mais un transporteur d'oxygène, qui améliore l'oxygénation tissulaire tant qu'il reste accolé à l'hémoglobine.

Adaptation de Michel Dogna d'extraits du livre du Professeur ARON décédé à 103 ans - Doyen de la faculté de Médecine de Tours et membre de l'Académie Nationale de Médecine, et de Béatrice Mercier - biologiste.


 

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