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La pollution nuirait à la fertilité masculine en perturbant le cerveau

Comment la pollution de l’air diminue la fertilité en lésant le cerveau

Nous savons depuis longtemps que la pollution de l'air affecte notre santé et semble favoriser des phénomènes comme l’obésité, le diabète et l’infertilité, mais nous ne savons pas toujours par quels mécanismes précis. Une nouvelle étude éclaire ce dernier phénomène sous un jour nouveau.   En menant des recherches sur des souris, des scientifiques de la faculté de médecine de l'université du Maryland viennent de découvrir que la pollution de l’air réduit leur nombre ...
rédigé le 16 novembre 2021
L'huile de poisson pour aider la fertilité masculine

Fertilité masculine : l’huile de poisson semble améliorer la fonction testiculaire

Une étude observationnelle danoise sur une cohorte de jeunes hommes de 19 ans d’âge suggère qu’il est possible d’améliorer la fonction testiculaire grâce à une supplémentation en huile de poisson riche en oméga-3. La lente mais continue détérioration de la fertilité masculine est constatée depuis une cinquantaine d’années dans tous les pays « riches ». L’implication de facteurs très divers, liés notamment à l’hygiène de vie et à ...
rédigé le 22 septembre 2021
La maca est considérée comme une plante adaptogène.

Maca : soutenez votre énergie

La maca pousse majoritairement au Pérou, dans des conditions peu propices, puisque ce n’est que dans la Cordillère des Andes, à 4 500 mètres d’altitude qu’elle peut être cultivée. Est-ce pour cette raison que cette plante est associée à l’énergie et à la libido ? Petit zoom. Pour l’immense majorité des espèces, la période durant laquelle on peut observer un pic de natalité correspond à un moment où les conditions environnementales permettent un maximum de chances de ...
rédigé le 21 août 2021
La prise de NAC conduit à une amélioration de la qualité du sperme.

La NAC pour lutter contre l’infertilité masculine

Selon l’Inserm, un couple sur huit, en France, a des difficultés pour concevoir un enfant. Dans 10 à 25 % des cas, ces difficultés ne sont pas expliquées par les analyses médicales standardisées. On parle alors d’infertilité idiopathique. Pouvant toucher aussi bien les femmes que les hommes, cette problématique est au cœur des recherches sur la fertilité. En ce sens, une récente méta-analyse se penchant exclusivement sur le cas masculin a mis en lumière l’intérêt de la ...
rédigé le 18 février 2021

Les noix pour enrayer le déclin de la qualité du sperme

Des études ont déjà suggéré que mieux manger freinait l’affaiblissement du sperme chez les hommes occidentaux depuis quatre décennies. Le récent essai Fertinuts, incluant 72 individus en bonne santé et suivant le régime de type occidental (Western diet), a montré qu’une prise de 60 g par jour d’un mélange d’amandes, noisettes et noix améliorait significativement la qualité des spermatozoïdes. Les fruits à coque limiteraient l’altération de l’épigénome du ...
rédigé le 30 novembre 2020

Les boissons sucrées, la contraception malgré soi

Consommer quotidiennement ne serait-ce qu’une canette d’une boisson sucrée est associé à une diminution de la fertilité dans les deux sexes. Comparativement aux personnes qui ne prennent pas de sodas, cette baisse de la fécondité est en moyenne de 25 % chez la femme et de 33 % chez l’homme.
rédigé le 26 mars 2018
Juste un soda sucré par jour réduit d'un tiers votre fertilité

Le soda vous rend infertile

À la demande d’une amie qui a du mal à concevoir un enfant, j’ai fait il y a quelques jours un tour de la littérature scientifique sur le sujet. Saviez-vous qu’aujourd’hui près d’un quart des couples n’arrivent pas à concevoir après un an d’arrêt de la contraception et que 10 % n’y parviennent toujours pas après deux ans ? L’infertilité féminine et masculine croissante est bien sûr un phénomène inquiétant. Depuis quelque temps ...
rédigé le 02 mars 2018

Méfaits du travail de nuit sur la fertilité

Les femmes qui travaillent de nuit ou qui changent régulièrement d’horaires comme celles dont le travail consiste à soulever ou déplacer des charges lourdes ont un taux moindre d’ovocytes arrivant à maturité et, par voir de conséquence, une fertilité bien moindre. L. Minguez-Alarcon, I. Souter, et coll. dans Occupational & Environmental Medicine, février 2017.
rédigé le 23 mars 2017