Se protéger de l’irradiation

En cas d’accident nucléaire, la solution officielle préconisée en préventif et en curatif est la plus mauvaise de toute la panoplie. Il s’agit de comprimés d’iode visant à doper la thyroïde, celle-ci jouant un rôle majeur dans l’élimination de la radio-activité au sein de l’organisme. Mais ce dopage thyroïdien aboutit surtout à épuiser la glande, tout en ayant par ailleurs des limites peu performantes.

Cette solution n’étant préconisée qu’en cas de catastrophe, la plupart d’entre nous ne s’inquiètent guère des dangers de l’irradiation. Pourtant, ce danger nucléaire est beaucoup plus proche de nous que nous ne le pensons. En effet, nous subissons les effets de l’irradiation nucléaire en cas d’accumulation de doses dus à certains examens médicaux (radiographies, scanner : 1 scanner = 100 radios) ; lors des séances de radiothérapie ; lorsque nous absorbons en quantité importante (et récurrente) des aliments ionisés (radioactivité gamma).

Voici les six remèdes que vous pouvez employer :

Le Miso

C’est du soja fermenté vendu en diététique sous forme de pots ou de petits pains sous plastique. Il se garde indéfiniment. Donc, à toujours avoir en réserve.

Son histoire remonte à la 2ème bombe atomique à Nagasaki où une clinique, dirigée par un médecin maître Zen, s’est trouvée en zone rouge. A savoir qu’avec ce type de bombe, on était selon l’endroit soit carbonisé, soit « ionisé », ce qui amenait une mort à petit feu par leucémie. Cette pathologie étant du type Yin, ce médecin pensait qu’il serait utile de donner quelque chose de très Yang aux malades. Toute la clinique fut donc mise au régime Miso et tout le monde fut sauvé. Voici maintenant plus de 15 ans que je fais passer l’information. Pour avoir plus de détails sur le miso, suivez ce lien.

• Dissoudre 1 cuil. à café de Miso dans un bol d’eau chaude. On obtient une sorte de soupe de bouillon cube.
• Prendre 4 soupes par jour.

Le chlorure de magnésium

Il est connu pour être un grand chélateur de la radioactivité. C’est aussi un produit très Yang (amer – salé).

Il peut être utilisé en externe pour les brûlures et en interne simultanément. Les doses maximales, selon le Dr. Delbet, sont de 40 ml toutes les 3 heures pour un adulte de 65 kg. Pour les enfants et les animaux, faire une règle de 3 pondérale.

Préparation : 1 sachet de 20 g (en pharmacie) dans 1 litre d’eau.

L’argile

L’argile est légèrement radioactive.

Dans les 12 théorèmes du Principe Unique du Tao, on trouve : « Le grand Yin attire le petit Yin et inversement ». Transcription : la petite radioactivité attire la grande radioactivité. L’argile peut donc s’utiliser par voie externe (bains de boue ou cataplasmes de boue) ou par voie interne : 1 cuil. à soupe d’argile dans un verre d’eau mise à tremper la veille. Les 2 ou 3 premiers jours, ne pas mélanger avant de boire.

Le charbon végétal suractivé

Ce produit (en vente en diététique et sur internet) a la capacité de tout absorber, de tout drainer, même les produits radio-actifs. La dose standard est de 3 cuillerées à soupe par jour, mais on peut augmenter les doses en cas de nécessité. C’est le remède-roi des centres anti-poisons. Dissoudre la poudre dans de l’eau. Prendre entre les repas. Boire beaucoup pour éviter la constipation.

La zéolite

La zéolite est une roche cristalline étonnante avec une structure en nid d'abeille de cavités et de canaux, qui est capable d'adsorber de nombreux types différents de gaz, d'humidité, de pétrochimiques, de métaux lourds et d'éléments radioactifs et une multitude de composés divers. Dans un gramme de zéolite, les canaux pourvoient jusqu'à plusieurs centaines de mètres carrés de surface sur laquelle des réactions chimiques peuvent prendre place. Attention, choisissez de la zéolite Clinoptilolite pure et non pas mélangée avec de la dolomite qui annule partiellement ses effets (voir le carnet d'adresse).

Le Ginkgo V de Beljanski

Ce produit répare les tissus après des fibroses provoquées par la radioactivité et corrige le dysfonctionnement des enzymes. Posologie : 6 à 9 gélules par jour

(voir notre article sur les traitements Beljanski ici)