Le kombucha, panacée chinoise de l’ex-URSS

Ce n’est pas une nouveauté, et pour cause, on utilise ce remède depuis plus de 2 000 ans. Le champignon de longue vie, ou champignon à thé kombucha, est une boisson populaire mandchoue, que les Chinois buvaient déjà sous la dynastie Zsin (221 av. J.-C.).

Lors de la fermentation, le champignon kombucha se nourrit du sucre pour produire de très précieuses substances : des acides organiques, dont certains ont la faculté de se combiner avec de nombreuses toxines ainsi qu’avec les métaux lourds, des vitamines du groupe B, C, D, des acides aminés, des probiotiques lactiques, des levures, des substances antibiotiques (acide usnique retiré du lichen), des minéraux et des polyphénols (flavonoïdes, isoflavonoïdes) dotés d’un fort pouvoir antioxydant.

En outre, grande spécificité, il produit des enzymes qui stimulent la digestion, purifient l’organisme, favorisent l’élimination des déchets et des toxines, renforcent et fortifient l’organisme contre les agressions extérieures. Ses propriétés sont telles que Moscou se lança corps et âme dans l’étude de ce champignon et de la boisson bon marché et populaire qui en était extraite.

Même Alexandre Soljenitsyne relate, dans « La Main droite » et
« Le Pavillon des cancéreux », des guérisons, la sienne en premier lieu (il souffrait en effet d’un cancer de l’estomac). Par ailleurs, Reagan aurait, selon la rumeur, traité son cancer avec. Des propriétés contre le cancer, donc, mais aussi contre les problèmes de prostate, les hémorroïdes, les symptômes de la ménopause, la fatigue, l’épuisement, la nervosité… Il améliore en outre le transit intestinal, régule l’équilibre acido-basique et lutte contre le vieillissement cellulaire.

Une panacée à redécouvrir !

Des recettes pullulent sur l’internet,
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