Accueil Remèdes L’or, la myrrhe et l’encens des cadeaux contre le cancer ?
L’or, la myrrhe et l’encens des cadeaux contre le cancer ?
Dès la haute Antiquité, l’or, la myrrhe et l’encens étaient utilisés en médecine. Aujourd’hui, la recherche découvre aux cadeaux des rois mages des effets thérapeutiques très prometteurs, notamment contre la maladie cancéreuse… La science rejoindrait-elle la religion, l’ésotérisme et l’alchimie ?
Lorsqu’on est enfant, on comprend mal pourquoi les rois mages ont parcouru tant de kilomètres pour déposer au pieds du « petit Jésus » leurs présents. De l’or, passe encore, mais de la myrrhe et de l’encens... Quelle pouvait être la valeur de ces matières, qui ne sont ni nobles ni rares ? Depuis la naissance du Christ, les théologiens, les ésotéristes et les alchimistes ont multiplié les hypothèses pour relier ces trois éléments. Aujourd’hui, la recherche scientifique ouvre une nouvelle piste tout à fait étonnante : l’or, la myrrhe et l’encens font partie des remèdes naturels les plus prometteurs dans la lutte contre le cancer.
L’or pour la force
L’or (Aurum metallicum) est le symbole de la royauté, de l’immortalité et de la richesse ; il est aussi le métal de la force, qualité essentielle dans la lutte contre la maladie cancéreuse. Ses qualités physiques et chimiques remarquables – l’or est non allergène – sont utilisées en dentisterie ; en rhumatologie (les sels d’or) et l’or est couramment utilisé, sous forme d’oligoélément, comme tonifiant et anti-inflammatoire dans le traitement du cancer.
Dans ce domaine, de nouvelles indications thérapeutiques devraient lui donner encore un rôle plus important. Sous forme de poudre obtenue à partir de ce métal à l’état monoatomique, l’or blanc serait capable de transporter d’importantes quantités d’énergie sous forme lumineuse qui iraient disperser les blocages et les déséquilibres responsables de la maladie.
On emploie également de l’or sous forme de nanoparticules pour y « greffer » des produits toxiques capable atteindre les cellules cancéreuses de manière spécifique. Les cellules sont les cibles, l’or un missile dirigé contre la tumeur.
La myrrhe pour mieux
accepter la maladie
La myrrhe est la résine du balsamier (Commiphora myrrha), elle symbolise « l’acceptation de la souffrance » et donc de la maladie. Ce qui ne veut pas dire que la personne cesse de lutter. En revanche, elle n’est plus dans la révolte. C’est une étape très importante dans l’évolution psychologique des personnes atteintes d’un cancer. Elle précède généralement le véritable lâcher-prise, essentiel pendant une maladie cancéreuse.
- Sous forme d’huile essentielle, la myrrhe aide à passer ces étapes (2 gouttes par jour à appliquer sur la peau).
Mais ici encore, des recherches récentes vont plus loin. Elles ont permis d’établir que la myrrhe, sous forme d’extraits hydro-alcooliques, avait une action intéressante sur les cellules cancéreuses. Elle agirait aussi sur le système neuro-hormono-immunitaire, ce qui permettrait de restaurer l’activité de certains récepteurs de membrane situés sur la cellule cancéreuse. Ayant réactivé ces récepteurs, les extraits hydro-alcooliques de myrrhe rétabliraient la communication avec le milieu intercellulaire : la cellule cancéreuse étant une cellule « anormale » de l’organisme, elle recevrait l'ordre de se suicider (apoptose) ou de se réparer. Les premières expérimentations ont démontré des résultats positifs dans le cas de cancers du sein, de la prostate et du tube digestif.
L’encens comme purifiant
L’encens est assimilé au principe divin. Selon différentes croyances, sa seule présence aurait le pouvoir de chasser les mauvais esprits. Or le cancer n’est-il pas une tumeur « maligne » ou encore une accumulation de toxines et de radicaux libres... autant de mauvais esprits ? Ainsi l’encens sous forme de fumée participe au nettoyage des énergies nuisibles de l’organisme. Il permettrait aussi d’éclairer la pensée et redonnerait la volonté et la confiance en soi-même, qualités importantes lors des périodes de doute rencontrées quasi systématiquement au cours d’une maladie cancéreuse.
L’encens aide aussi à se débarrasser de ses rancunes et de ses anciens conflits, afin de pouvoir vivre sereinement le présent. L’huile essentielle d’oliban, qui provient de la distillation de la gomme blanchâtre d’encens, présente de nombreux effets thérapeutiques très utiles lors d’une maladie cancéreuse. Il agit sur l’anxiété et il tonifie le moral. Mais il est aussi immuno-stimulant, anti-infectieux, anti-inflammatoire, antalgique et cicatrisant.
- On l’utilise à raison d’1 à 2 gouttes tous les jours, en application sur la peau ou dans un verre d’eau.
Certes, il y a encore beaucoup à étudier avant de proposer ces trois produits comme traitement contre le cancer. Les recherches actuelles doivent notamment être complétées par des études toxicologiques. Mais d’ores et déjà on voit que l’or, la myrrhe et l’encens agissent autant sur la tumeur cancéreuse que sur l’état général et immunitaire des malades, ainsi que sur leur psychisme. Un beau cadeau de Noël.
Un triplex de référence
Le laboratoire Weleda, inspiré de la médecine anthroposophique de Rudolf Steiner, a mis au point une préparation contenant ces trois principes : Aurum metallicum (D30), Myrrha (D6) et Olibanum (D12). Les indications portent sur les affections chroniques et inflammatoires ainsi que sur les traumatismes psychiques. Ce complexe aiderait aussi les personnes à franchir les passages difficiles de leur vie… Le cancer est sans conteste une de ces épreuves redoutables.
La posologie est de 20 gouttes, 2 fois par jour, ou 4 à 5 g, 3 à 4 fois par jour.
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