
« Le vrai fléau chez mes amis agriculteurs aujourd’hui, c’est le suicide »
J’ai lu avec intérêt votre édito du numéro précédant sur l’épigénétique, qui peut effectivement être une approche intéressante pour identifier si certains polluants sont les principales causes de pathologies ou les favorisent. Mais pourquoi mettre l’accent sur les produits phytosanitaires et ne pas généraliser aux autres pollutions chimiques (notamment les produits ménagers), à la pollution atmosphérique et aux additifs alimentaires, auxquels les citoyens des villes sont ...
rédigé le 26 octobre 2018