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pour vous parler
d'Ebola,
Ça vous apprendra !

Article paru dans le journal nº 18

Voilà plusieurs mois que l’épidémie Ebola sévit en Afrique de l'Ouest et, à ses débuts, l’information n’était pas toujours facile d’accès à l’exception de certains médias alternatifs. Mais le décès du médecin chargé de diriger la lutte contre l'épidémie en Sierra Leone a lancé l'épidémie dans les médias. Et depuis, on en parle tous les jours à la télé.


On en parle, d'ailleurs, autant pour plaindre les Africains touchés que pour s'inquiéter de la venue du virus dans les pays développés
. De temps en temps, on en profite pour faire un petit peu de pub à la recherche scientifique qui aurait trouvé un "sérum". Et cela fait un excellent feuilleton anti-viral avant la campagne de vaccination contre la grippe.

Je ne sais rien de l'origine de cette maladie. On parle des chauve-souris, mais certains laissent entendre qu'elle est sortie des éprouvettes des laboratoires spécialisés dans la guerre bactériologique. Ce n'est pas impossible, mais cela me semble être alors une arme bien peu efficace : 10 000 morts en 40 ans. Le gaz moutarde, c'était mieux.

Je sais en revanche qu'elle est, comme toutes les grandes épidémies, prise en otage par différents intérêts
: la "mobilisation internationale" que l'OMS appelle de ses voeux signifie "aide financière".

C'est en milliards de dollars que ça se compte... quand la sauce prend et quand les opinions publiques s'inquiètent. C'est beaucoup plus lucratif que le Téléthon et il y a des retombées pour tout le monde : les Etats africains concernés - un peu - et, plus souvent, leurs dirigeants eux-mêmes. Mais aussi, les laboratoires pharmaceutiques dont on va financer les recherches, les médias qui vont vendre de la copie et toute une série de "sous-traitants" de cette aide (transporteurs, fournisseurs de matériel médical, hôtels-restaurants...). Sans parler des fonctionnaires et consultants qui, dans des dizaines de pays, vont étudier la question.

Je sais une autre chose, mais elle est d'ordre général. Les virus ne s'attaquent pas à tout le monde et si c'était le cas, il y aurait beaucoup plus de morts en Afrique. Il ne tuent pas non plus tout le monde. Il y a donc des gens qui passent à travers... soit simplement parce qu'ils n'ont pas été mis en contact avec le virus, soit parce que le virus ne s'est pas intéressé à eux.

Guinée, Liberia, Sierra Leone, Nigéria... les pays où sévit le virus sont parmi les plus pauvres des États africains, la plupart des gens y sont mal nourris et souvent très affaiblis par différentes autres maladies ou par des conflits locaux. Ce n'est pas le cas chez nous (quoique...) donc, il n'y a rien à craindre.

Et puis il y a toujours les traitements anti-viraux. Je ne parle pas des médicaments mais des traitements naturels qui tiennent les virus éloignés. Des traitements tout-bêtes parfois issus du thym, du pin ou des baies de sureau noir... les remèdes de la phytothérapie abondent pour faire face aux virus. Ils sont, en outre, terriblement efficaces contre les zoonoses (comme Ebola), et cela semble logique. A condition de savoir bien les utiliser. Savez-vous ?

 

En aucun cas les informations et conseils proposés sur le site Alternative Santé ne sont susceptibles de se substituer à une consultation ou un diagnostic formulé par un médecin ou un professionnel de santé, seuls en mesure d’évaluer adéquatement votre état de santé


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