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Quelques questions en suspens autour du vaccin Covid.
Volet 3 : efficacité et effets indésirables potentiels

Comme nous vous le rappelions dans le volet 1 de cette enquête, la précipitation et l’opacité dans laquelle ont été menés les essais cliniques sur les vaccins anti-Covid génèrent de nombreuses zones d’ombre éthiques et scientifiques. Bien que les vaccins soient présentés et attendus par beaucoup comme « la solution » pour sortir de la pandémie et revenir à une vie normale, leur efficacité en situation réelle est bien plus limitée (voire mauvaise face à certains variants) et ne constitue pas, pour l'heure, une protection contre la contamination. Quant aux effets indésirables, inconnus à ce jour sur le long terme, de nombreuses incertitudes demeurent.

La rédaction

Dès début novembre, des firmes comme Pfizer annonçaient avoir développé des vaccins efficaces à plus de 90 %, en profitant au passage pour organiser la revente de leurs actions et empocher de gros bénéfices. Toutefois, en raison du secret industriel, aucun scientifique indépendant n’a eu accès à l’intégralité de ces données pour en analyser la fiabilité. Seuls quelques membres des autorités de santé les ont examinés pour décider de la mise sur le marché. Ainsi, les taux d’efficacité actuellement annoncés reposent uniquement sur des données secrètes et invérifiables issues d’acteurs qui ont tout intérêt à annoncer des taux élevés pour mettre au plus vite leur produit sur le marché, et dont certains ont déjà fait preuve de malhonnêteté voire de fraude avérée par le passé. Qui plus est, ces entreprises seront exonérées de leurs responsabilités en cas d’éventuels effets indésirables puisque la plupart des États ont accepté de plafonner ou prendre en charge financièrement les indemnités liées aux éventuels effets indésirables liés au vaccin.

Bien que notre Président nous qualifie de « nation de 66 millions de procureurs », la réalité est que certains enjeux cruciaux autour de l’efficacité des vaccins anti-Covid ou de leurs potentiels effets indésirables restent cantonnés au débat d’initiés. Voici donc un condensé des zones d’ombre concernant l’efficacité et les effets indésirables des vaccins afin que vous puissiez vous faire votre propre idée.

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Efficace contre les formes graves… pas contre la transmission !

« Le vaccin permet de faire un câlin à ses parents et ses grands-parents. Merci. » affirmait Gilbert Deray, néphrologue à l’hôpital de La Pitié Salpêtrière à Paris sur Twitter le 9 février dernier. « On ne sortira de cet enfer que quand on aura atteint l'immunité collective » et « ce sera par le vaccin », clamait début janvier le professeur Arnaud Fontanet, membre du Conseil scientifique sur la chaîne télé de France Info. Vous avez sûrement entendu de manière régulière ce type de propos dans la bouche de médecins ou de politiques qui font autorité. Pourtant, ils vont à l’encontre des données scientifiques actuelles concernant les vaccins anti-Covid.

En effet, selon les données issues des essais cliniques menés par les industriels, aucun des vaccins anti-Covid disponibles actuellement n’empêche d’attraper la maladie (donc de la transmettre à ses proches). Seules quelques figures, comme la professeure Dominique Le Guludec, cardiologue à la tête de la Haute autorité de santé, semblent tenir à ce sujet des propos clairs et honnêtes qui n’entretiennent pas la confusion dans l’esprit du grand public. Comme elle le résumait en janvier dernier sur le plateau de l’émission Quotidien sur TMC : « Aujourd'hui, on ne sait pas encore, si le vaccin protège contre la transmission, contre le fait d'être porteur. Aujourd'hui, le vaccin c'est pour se protéger soi, mais pour protéger les autres il faut continuer à suivre les mesures barrières. »

Des vaccins porteurs d’espoirs illusoires ?

Dès novembre 2020, Malik Peiris et Gabriel Leung, deux virologues de haut vol, expliquaient dans The Lancet qu’il est « peu probable [que les vaccins anti-Covid de première génération] soient la solution ultime à laquelle beaucoup s'attendent [car leur] impact sur la transmission n'a pas été évalué ». À rebours de l’optimisme ambiant qui régnait à l’hiver 2020, ils concluaient : « L'idée que l'immunité de la population induite par le vaccin permettra un retour à la normalité pré-Covid pourrait être basée sur des hypothèses illusoires ».

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« Mais pourquoi n’a-t-on pas développé des vaccins qui empêchent la transmission du virus ? » vous demandez-vous peut-être ? Il y a deux raisons à cela. La première est que ces vaccins ont avant tout été créés dans le but précis d’éviter les formes graves de la maladie. La seconde est que l’évaluation de l’impact d’un vaccin sur la transmission d’une maladie est très complexe et demande beaucoup de temps. Dans le cas du Covid, plusieurs années pourraient être nécessaires.

À l’heure actuelle, quelques indicateurs permettent tout de même d’imaginer que les vaccins actuels pourraient réduire la contagiosité. Tout d’abord, comme l’explique la FDA, l’agence américaine de régulation du médicament : « La plupart des vaccins qui protègent contre les maladies virales réduisent également la transmission du virus qui provoque la maladie par les personnes vaccinées ». Ensuite, les données émanant de certains pays, comme Israël où une large partie de la population a été vaccinée, semblent indiquer une baisse de la contagiosité (plus de 90 % des plus de 60 ans ont été vaccinés et une baisse de 41 % des contaminations dans la tranche d’âge a été observée même s’il faut préciser que la période a également été couverte par un confinement national). Enfin, certains vaccins ont généré des données encourageantes sur la baisse de contagiosité tels le vaccin Moderna (la FDA l’indique dans un document annexe mis en ligne à la mi-décembre), AstraZeneca (baisse de 67 % des tests positifs après la première dose selon les résultats préliminaires d’une étude non encore publiée et dont on ne peut pas tirer pour l’heure de conclusions) ou encore le Novavax (non encore disponible pour l’humain mais qui a réussi à stopper complètement la transmission durant des tests réalisés sur des macaques et avec une dose élevée).

Pour autant, comme le rappelle John Moore, virologue et immunologiste à l’Université new-yorkaise de Cornell qui a supervisé plusieurs études sur l’immunité liée au Covid-19 : « Dans tous ces domaines, les données l'emportent sur la théorie, et nous avons besoin de ces données ». En effet, depuis plus d’un an, le Covid-19 bouscule de nombreuses certitudes scientifiques et, pour l’heure, les vaccins anti-Covid sont à considérer uniquement comme une protection personnelle pour éviter une forme grave, et non comme un « geste altruiste » qui permettrait de protéger les autres.

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Une efficacité bien plus faible que les taux annoncés ?

Certains spécialistes pointent du doigt une autre information plutôt préoccupante à propos de l’efficacité réelle des vaccins Pfizer et Moderna qui serait bien plus faible que les 95 % annoncés. Peter Doshi, rédacteur en chef adjoint du célèbre British Medical Journal a analysé début janvier les données des essais cliniques sur les vaccins fournies par les industriels lors des demandes d’approbation. Il conclut : « Même après élimination des cas survenus dans les sept jours suivant la vaccination [NDLR : les personnes ayant pu être contaminées avant l’injection] l'efficacité du vaccin reste faible : 29 % ». Le scientifique explique que ce faible taux d’efficacité pourrait résulter de potentiels faux négatifs ainsi que de l’exclusion volontaire de certains patients de l’étude.

Dans la même veine, le chercheur et expert international en épidémiologie Michel de Lorgeril (auteur de huit livres sur les vaccins dont un sur le vaccin et le Covid à paraître en avril) nous explique que, selon lui : « Les essais réalisés pour développer les vaccins Pfizer et Moderna sont mal faits et comportent des biais fondamentaux qui font qu’on ne peut pas avoir aujourd’hui la preuve formelle de leur efficacité ».

Des problèmes méthodologiques qui entachent les taux d’efficacité annoncés :

En plus de biais méthodologique non respectés comme le « double aveugle » (que détaillait Michel De Lorgeril dans le premier volet de cette enquête sur les vaccins), des scientifiques pointent du doigt deux autres biais majeurs qui entachent la fiabilité des essais, donc des taux d’efficacité annoncés :

●        Les groupes de patients testés ne reflètent pas suffisamment correctement la diversité de la population pour être représentatifs (l’essai Pfizer BioNTech notamment se voit reprocher une sous-représentation de certaines ethnies, âges ou pathologies)

●        Les marqueurs utilisés pour évaluer cette efficacité ne seraient pas les plus fiables ou appropriés (par exemple des tests PCR aux taux de fiabilité proches de 80 %, capables de biaiser l’étude puisque permettant de créer jusqu’à 20 % de faux négatifs).

Enfin, une autre pratique pourrait rendre encore plus difficile la détection des effets indésirables à long terme. En effet, le « gold standard » en matière d’essai clinique consiste à séparer deux groupes bien distincts (un groupe A qui reçoit un placebo et un groupe B qui reçoit le principe actif) puis de les suivre sur le court et le long terme afin d’observer les effets indésirables. Mais pour des raisons « éthiques », certains industriels comme Pfizer envisagent de vacciner également les groupes tests des essais cliniques (les patients n’ayant pas reçu le principe actif mais un placebo durant l’essai), ce qui freinerait voire empêcherait une évaluation correcte des effets à long terme du vaccin en empêchant de voir la différence entre les deux groupes.

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Des variants qui menacent l’efficacité

À ces nombreuses zones d’ombre et incertitudes sont venus s’ajouter à l’hiver 2020 les nouveaux variants qui pourraient induire une mortalité jusqu’à 35 % supérieure. Cette mi-février dans l’Hexagone, le variant anglais est responsable de 20 à 25 % des nouvelles contaminations et les variants brésiliens et sud-africains 4 à 5 %.

La progression croissante et inéluctable de ces nouveaux variants et les difficultés de certains vaccins à lutter contre eux pourraient compromettre l’intérêt même des campagnes de vaccination. Pour exemple, l’Afrique du Sud qui venait d’entamer sa campagne de vaccination a décidé de suspendre l’utilisation du vaccin Astrazeneca qui s’avérait trop peu efficace face aux nouveaux variants. La firme Pfizer vient quant à elle d'annoncer que le variant sud-africain pourrait réduire de deux tiers la production d'anticorps induite par son vaccin, sans qu'on sache à ce stade quel effet exact cela peut avoir sur la protection elle-même.

La pression de ces nouveaux variants est telle qu'elle a récemment poussé plusieurs membres du Conseil Scientifique, dont son président Jean-François Delfraissy, à changer totalement leur fusil d'épaule concernant la gestion de la crise sanitaire. Dans un point de vue publié le 18 février dans le Lancet, ils expliquent que face à la montée des variants qui « réduisent l'efficacité de la vaccination à court et moyen terme [...] la fin tant attendue de cette crise sanitaire mondiale pourrait bien être continuellement repoussée ». Jean-François Delfraissy qui courrait encore en janvier les plateaux télévisés pour demander un reconfinement propose finalement aujourd'hui « d'abandonner les approches fondées sur la peur » (comme celle demandant à la population d'attendre que tout le monde soit vacciné avant de reprendre une vie normale) pour les remplacer par un nouveau « contrat social ». Afin d'éviter d'éviter l'effet « génération sacrifiée », les jeunes accepteraient « la contrainte » des mesures de prévention (masques, distance physique) et les plus âgés accepteraient en sus de s'auto-isoler au besoin.

Des effets « bénins » et des décès inexpliqués

Comme le déclarait dès mars 2020 le docteur Mike Ryan, directeur exécutif du programme d'urgence de l'OMS : « Il n'y a qu'une chose plus dangereuse qu'un mauvais virus c'est un mauvais vaccin [et] nous devons être très, très, très prudents dans le développement de tout produit que nous allons injecter à la majorité de la population mondiale ».

Ainsi, concernant les effets indésirables à court terme des vaccins anti-Covid, le tableau commence à s’éclaircir. Pour les vaccins Pfizer et Moderna, les événements indésirables les plus courants répertoriés dans la base de données européenne des rapports d’effets indésirables susceptibles d’être liés à l’usage de médicaments sont des douleurs au point d’injection, de la fatigue, des maux de tête et des douleurs musculaires ou articulaires. Les données des essais cliniques sur le vaccin AstraZeneca indiquent également des malaises, de la fièvre et des frissons, qui disparaissent 5 à 7 jours après l’injection.

Depuis début janvier, en Norvège, les décès de 82 personnes de plus de 70 ans en mauvaise santé ont été constatés très peu de temps après la vaccination anti-Covid. Les décès de 13 résidents d’un EPHAD avaient notamment été soupçonnés d’être liés aux effets secondaires du vaccin à ARN Pfizer BioNtech. Sigurd Hortemo, médecin en chef de l'Agence norvégienne des médicaments avait alors expliqué que les effets indésirables courants des vaccins à ARN (technologies de Pfizer et Moderna) comme la fièvre et les nausées avaient « pu entraîner la mort de certains patients fragiles ». Bien que certains de ces cas aient finalement été jugés comme « sans liens de cause à effet » avec la vaccination anti-Covid l’Agence norvégienne des médicaments considère que cette hypothèse est « toujours possible » dans certains cas et a modifié les recommandations nationales de ses guides sur les vaccins anti-Covid. Quant au vaccin AstraZeneca, l’Allemagne a décidé fin janvier de ne plus le recommander aux seniors, au motif que « les données disponibles actuellement sont insuffisantes pour évaluer l'efficacité du vaccin au-delà de 65 ans ». Un phénomène assez ironique quand on sait que les vaccins sont précisément censés protéger en priorité ce type de public.

En France, fin janvier, 9 décès de personnes âgées ont également été constatés suite à une vaccination. Pourrait-il s’agir du même phénomène que celui observé en  Norvège ? Pour l’ANSM, même si ces cas font l’objet d’un « suivi attentif », « rien ne permet [pour l’heure] de conclure que ces décès sont liés à la vaccination ». Ainsi, en dehors des chocs anaphylactiques, tout autre décès suite au vaccin est quasi systématiquement considéré comme lié aux comorbidités (vieillesse, maladie préexistante, etc.). Malgré la multiplication des cas de décès temporellement proches de la vaccination, il est difficile voire impossible de faire la part des choses et pour l’heure le discours officiel des autorités de santé reste qu’il n’y a pas de lien apparent. Dans cette foule d’incertitudes, on pourra toutefois retenir la réflexion de bon sens de la directrice norvégienne de la santé : « Pour ceux qui ont de toute façon une durée de vie restante très courte, le bénéfice du vaccin peut être marginal ou sans importance. »

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Hypertension, ADE, hausse de la contagiosité… Des effets à long terme méconnus

En France, concernant les effets indésirables plus graves ou suspects, l’ANSM recensait officiellement dans son dernier point du 22 janvier 135 cas d’effets indésirables dont 31 cas d’effets indésirables graves pour 388 730 vaccinés. Au 12 février, l’agence française du médicament signalait deux nouveaux types d’effets indésirables avec 73 cas d’hypertension artérielle sous vaccin Pfizer/BioNTech qui constituent « un signal qui doit être surveillé » et 149 syndromes grippaux de forte intensité sous vaccin AstraZeneca considérés comme « un signal potentiel » puisque constatés chez des personnes jeunes. Ces syndromes grippaux sont assez répandus et invalidants pour que certains services hospitaliers, comme celui du CHRU de Brest ou l’hôpital de Saint Lô aient décidé de suspendre les vaccinations de leurs personnels soignant avec AstraZeneca pour éviter la multiplication des arrêts maladies.

Aux États-Unis, le cas d’un médecin de 56 ans en parfaite santé décédé d’une hémorragie cérébrale une quinzaine de jours après une première injection du vaccin Pfizer a ému. Une enquête est en cours et il n’est pas exclu que son décès soit lié à un effet secondaire rare du vaccin. En effet, comme souvent avec le Covid-19, il se pourrait que certains phénomènes en jeu dans la vaccination nous échappent. À l’image de l’ADE, l’antibody dependent enhancement, une aggravation de l'infection par les anticorps. Dès le 13 juillet dernier dans la revue Nature, des scientifiques interpellaient sur ce phénomène en indiquant qu’il devrait être une préoccupation dans le développement des vaccins anti-Covid car interférer artificiellement avec le système via un vaccin peut « amplifier » l’infection ou « déclencher » une maladie du système immunitaire. Un phénomène sur lequel le Conseil scientifique alertait également en juillet dernier et pour lequel la HAS rappelait récemment qu’il n’a pas été observé durant les essais cliniques.

Enfin, d’autres scientifiques, comme le généticien moléculaire président du Conseil scientifique du CRIIGEN (Comité de recherche et d'information indépendantes sur le génie génétique) Christian Vélot, s’inquiètent des potentiels risques liés à une vaccination à grande échelle. Dans une note d’expertise publiée en septembre dernier, il avance que les vaccins qui utilisent un virus atténué (comme le vaccin chinois Sinovac ou le vaccin de l’entreprise française Valneva) ou les vaccins à ARN pourraient favoriser la création de virus recombinants, c’est-à-dire de nouveaux variants du virus, parfois plus virulents comme les variants anglais, brésiliens ou sud-africains que nous connaissons actuellement. Notre « Monsieur vaccin » Alain Fischer a réagi à cette note d’expertise en réfutant l’ensemble des arguments avancés. Sollicité par le Conseil économique, social et environnemental, Christian Vélot a répondu point par point à Alain Fischer dans une note dans laquelle il maintient ses arguments. En Israël, un groupe de travail dirigé par l'armée israélienne a pourtant également alerté contre ce risque qu’il semble prendre très au sérieux, déclarant : « La campagne de vaccination de masse qui se déroule actuellement en même temps que l’épidémie active en Israël peut entraîner une “pression évolutive” sur le virus et générer des mutations. »

Plus récemment, un nouvel effet secondaire potentiel a fait parler de lui concernant le vaccin AstraZeneca : quinze pays, (dont treize européens comme l'Autriche, les Pays-Bas, l'Irlance, la Norvège et le Danemark) ont suspendu, partiellement ou totalement, son usage suite à plusieurs accidents impliquant des troubles de la coagulation (hemorragies cérébrales et cas de caillots sanguins). Si aucun lien formel n'est pour l'instant établi, l'Institut norvégien de santé publique a déclaré : « ceci est grave et peut être le signe d'une diminution du nombre de plaquettes ».

Pour conclure temporairement et à l’aune des données pour l’instant disponibles, si globalement l’efficacité des vaccins anti-Covid apparaît comme une extraordinaire prouesse scientifique, de nombreux points importants questionnent sur la réalité des taux de protection annoncés. Des incertitudes demeurent par ailleurs sur les effets indésirables de court comme de long terme, qui interrogent notamment sur la pertinence d’une vaccination des personnes âgées aux multiples comorbidités.

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