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L’apport des médecines naturelles dans le cas du cancer du sein

Article paru dans le journal nº 31

Même si dans le cas du cancer du sein il n’existe pas encore ­d’alternative naturelle vérifiée au ­traitement allopathique il est cependant possible, grâce à des remèdes naturels et une bonne hygiène de vie, de prévenir son apparition ou ­d’espérer un moindre risque ainsi qu’un meilleur pronostic, si toutefois la maladie se développe.

Comme de nombreux facteurs ­environnementaux participent de la genèse du cancer du sein, ­certaines mesures simples permettent ­d’espérer un moindre risque et ainsi prévenirson apparition.

Adopter la bio attitude

Cette recommandation vaut pour ­l’alimentaire comme pour les ­cosmétiques, les produits ­d’entretien, les ­matériaux de ­construction et de rénovation. Ainsi, l’exposition aux toxiques et aux perturbateurs endocriniens (PE) sera réduite à son minimum.

Reconsidérer son métier

Avoir une profession qui nécessite le recours à des pertubateurs endocriniens oblige les ­personnes concernées à effectuer des ­auto-examens réguliers ainsi qu’à une ­complémentation en ­micronutriments antioxydants type Antiox-Nut : 2 gélules par jour en continu.

Se complémenter en micronutriments

Complexe vitaminique et minéral sans cuivre, sans fer et sans manganèse. Exemple : Visentiel, 1 capsule par jour en continu.
Vitamine D3 : le risque est significativement réduit lorsque le taux ­sanguin de 25(OH)D3 est supérieur à 30 ng/ml. Dose ­recommandée : 400 UI/j.

Lors de la ménopause

Préférer les traitements alternatifs pour traiter les symptômes de la ménopause. Pour qui préfère le traitement hormonal, écarter tout progestatif et se contenter d’un œstrogène (17-bêta œstradiol), ce qui réduirait le risque de cancer mammaire.

Si toutefois la maladie se développe il est quand même possible d’améliorer ­significativement l’efficacité et la tolérance des protocoles officiels, la qualité de vie et parfois même le pronostic. Pour ce faire, il faut agir sur deux axes à la fois.

Réduire la récidive

Stopper ou au moins réduire sérieusement la consommation d’alcool (un verre de bon vin rouge par jour) et de tabac.

Veiller à ne pas prendre trop de poids

Plus on est en surpoids à la suite d’une ­chirurgie, plus le risque de récidive augmente. Certaines circonstances ­favorisent malheureusement le ­surpoids, comme la chimiothérapie classique.

Adopter un régime alimentaire sain

Les modèles macrobiotiques, végétarien et ­méditerranéen ont montré leur efficacité quant à la conservation prolongée du bien-être physique et psychologique.

– Diminuer la ...

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