Pour consulter le site sans publicités inscrivez-vous

Accompagner une chimiothérapie

Article paru dans le journal nº 10

Depuis environ dix ans, les traitements du cancer utilisent de nouvelles molécules qu’on classe par habitude dans les chimiothérapies. Si les anticorps monoclonaux ou assimilés (Glivec, Herceptin, Avastin…) agissent de façon spécifique, ils n’évitent pas de nombreux effets secondaires. Voici comment les rendre moins présents.

Les chimiothérapies classiques sont des antimitotiques, c’est-à-dire qu’elles bloquent la division des cellules en agissant sur leur noyau.

C’est ce principe même de fonctionnement qui explique leur toxicité directe sur les cellules saines qui ont besoin de se diviser. Cela a pour effet d’entraîner la chute des globules et des plaquettes mais aussi des cheveux et l’altération de la muqueuse intestinale.

Les nouvelles molécules employées dans les chimiothérapies sont des anticorps monoclonaux, elles agissent, quant à elles, sur des récepteurs de la membrane pour perturber le métabolisme de la cellule et causer sa mort.

Pour cette raison, les effets secondaires provoqués par ces traitements sont différents de ceux qu’occasionnent les chimiothérapies classiques. Ils provoquent moins de nausées et de chute des globules mais plus de désordres particuliers comme des troubles de la sensibilité (perde du goût ou de l’odorat, voire même du toucher), des problèmes cardiovasculaires de toutes sortes ou de coagulation du sang.

Ces nouveaux protocoles plus sophistiqués permettent d’obtenir des rémissions de plus en plus longues. Mais à quel prix ! Des personnes en nombre croissant passent ainsi désormais des mois, voire des années, sous chimiothérapie. Et par voie de conséquence, un accompagnement est indispensable pour les aider à vivre au mieux ces périodes délicates. Cet accompagnement a un nom officiel : les « soins de support ».

À l’hôpital, ils se limitent à la prescription d’un certain nombre de médicaments : des antibiotiques, des antalgiques, des antivomitifs chimiques et un peu de psychothérapie. Or les médecines naturelles offrent une large palette de produits efficaces que les personnes qui se chargent de ces fameux «soins de support» devraient sans doute mieux connaître.

Une plante pour le foie

La première chose à faire est de défendre le foie et, pour cela, il y a le desmodium. Cette plante, ramenée d’Afrique et étudiée par le Dr Pierre Tubéry, n’est pas un draineur hépatique, contrairement à ce que croient ...

Cet article est réservé à nos abonnés. Vous êtes abonnés ? Connectez-vous

Pourquoi cet article est réservé aux abonnés ?

Depuis maintenant près de 30 ans, Alternative Santé promeut les bienfaits des médecines douces ou des approches complémentaires. Alors qu'elle sont attaquées de toute part avec la plus grande virulence, notre missions est plus que jamais essentielle pour défendre une autre vision de la santé.
C'est pourquoi nous avons besoin de vous pour nous soutenir dans nos actions d'information. En effet, si nous souhaitons garder notre indépendance éditoriale, seul votre soutien financier peut nous permettre de continuer notre mission :

  • celle de dénoncer les scandales et dérives inquiétantes dans le monde de la santé, de mettre en lumière les effets indésirables
  • celle de faire connaitre les solutions préventives et les remèdes naturels efficaces au plus grand nombre
  • celle de défendre le droit des malades, des usagers de santé et des médecins à choisir librement les meilleurs remèdes.

Comme vous le savez certainement, nous ne mettons aucune publicité dans notre journal et restons libres de toute pression. Nous souhaitons garder toute notre indépendance, mais cette liberté a un coût.

La meilleure façon de nous aider et de soutenir une presse indépendante est donc de vous abonner à notre journal !

Je m'abonne

 

En aucun cas les informations et conseils proposés sur le site Alternative Santé ne sont susceptibles de se substituer à une consultation ou un diagnostic formulé par un médecin ou un professionnel de santé, seuls en mesure d’évaluer adéquatement votre état de santé